Samedi07 mars, Mireille et Jean-Marie Saiselet ont célébré leurs 50 ans de mariage. Mireille, de son nom de jeune fille Allard, est née le 30 mai 1946 à Mouzon. Elle est la 2 ème d'une famille de 4 enfants avec ses 2 sœurs Monique et Catherine et son frère Jean-Pierre. Elle quitte très tôt sa ville natale pour Charleville-Mézières, où elle reste 4 ans, puis elle déménage à
Uncouple écossais a été arrêté après avoir violemment attaqué la mère de la mariée et son compagnon pendant la fête, qui a viré au cauchemar. Par La rédaction -
Translationsin context of "un repas de noce" in French-English from Reverso Context: Ça vous dirait, un repas de noce ?
Unrepas de noce Type of object Dessins Physical characteristics. Dimensions. H. 0,22 m ; L. 0,37 m Materials and techniques. Plume et encre noire, crayon noir, lavis gris, rehauts de blanc et de gouache History. Object history. Collection du Duc de Luynes, directeur adjoint des Musées Royaux ( de 1824 à 1828 ) ; don du duc de Luynes ( marque du musée en bas à gauche ( Lugt
Préparezdans le calme les valises du voyage de noces plutôt que d'attendre deux heures avant le départ. Prévoyez aussi le jour J un petit sac contenant de quoi vous refaire une beauté, que
Lobligation du repas de mariage - La composition du repas de mariage – L'obligation de répondre à l'invitation au repas du mariage – Les cas dans lesquels il
. les visiteurs ont aimé et passé beaucoup de temps à lire les panneaux réalisés par Christine et Yvonne. il s'en disait des choses autrefois ! il doit s'en dire encore de nos jours .... prenez le temps de lire, cela vaut le détour ! Rencontres C’est en se rendant aux fêtes religieuses que les jeunes gens avaient la meilleure occasion de faire connaissance. Là s’effectuaient les premiers contacts sérieux, les premiers engagements, sous l’œil attentif de toute une communauté. Lorsqu’un jeune homme avait remarqué une jeune fille qui lui plaisait, il lui prenait son parapluie et ils se promenaient tous les deux. A partir de ce jour, on devenait des amis ,puis la journée terminée, il lui offrait une consommation à l’auberge, ou des bonbons ou gâteaux. Parfois il la raccompagnait chez elle. Les autres possibilités de rencontre étaient les grands travaux battages, arrachage de patates fouieries ou de betteraves, mèneries de buée lessive, pileries de place, etc. Le mariage, les galants et les filles à marier Pour les campagnards, le type de la beauté féminine n’est pas la grâce ou la gentillesse c’est la force et l’air de santé une fille robuste, forte en chair et haute en couleur, est toujours recherchée. On dit d’elle - Olle a belle conscience, olle ben pommée, c’est-à-dire elle a une belle poitrine - Olle ben foutue su’ son bois elle est droite et de bonne mine - C’est une belle coiffe - C’est un biau cotillon - C’est un biau brin de fille - Olle a la joe joue su’ l’œil elle a les yeux vifs Voici quelques autres dictons - Elle a été élevée avec du lait doux elle a été gâtée - Se fait périer prier n’en voit ben que c’est eune belle fille - La p’us arroséelouée n’est pas la première mariée - Elle est belle au coffre, et belle dans l’armoire Elle est riche , mais laide - Qui qu’olle a ? son cu et sa chemise elle est pauvre,et par conséquent, n’est pas fort souhaitable La demande en mariage La discussion des intérêts se fait souvent comme un marché. Voici un dialogue populaire en haute Bretagne qui montre, sous une forme non déguisée, deux pères en train de discuter les conditions combien d’écus ? trois cents mis sur la couette il faudrait plus pas un sou remmenez la bête ******* Lorsque c’est le père du jeune homme qui vient faire la demande en mariage, après avoir souhaité le bonjour, suivant les formules en usage, il dit ! j’avons zu eune bonne année sez nous. J’avons du blé plein not’soliergrenier, j’avons du lard plein not’ chânier, j’avons du cite plein nos tonnes j’avons du lin tant que je n’savons comment le filer Av’ous une fille pournous’aiderà manger tout l’ia et à faire not’ ouvrage ? » ********* Bien sûr, il grossit toujours un peu, le père de la jeune fille ne dit ni oui, ni non du premier coup. Souvent, il va aux renseignements. Parfois, si le galant est d’une commune voisine, c’est la mère qui se déguise et va voir par elle-même. A Plessala, quand un garçon a fait la cour à une fille pendant un temps suffisant, il va la trouver et lui dit Putin, m'aimes-tu ben?. Vère don', crapaôu crapaud. Ma itou, copie-ma crache-moi dans la goule, j' te l' renrai après. Avant le mariage Quand un galant a reçu son congé d'une jeune fille, on dit "a reçu sa chieuve" chèvre. En général il ne s'en vante pas; cependant, lorsqu'il fait trop voir sa déception, les gens disent "il n'aurait pas dû mener sa chèvre au champ". L'entremetteur du mariage s'appelle "chaussenaire". En général, le prétendant se rend chez la jeune fille le dimanche soir. On dit qu'il "va voir les filles". La première fois il se fait accompagner par un copain voisin, frère, cousin et… il arrive quelquefois que celui-ci a plus de succès que lui ! Lorsque le père de la jeune fille estime que le jeune homme n'est pas un bon parti et qu'il espère mieux pour sa fille, il lui dit au moment de partir "ce ne sera pas la peine de revenir" Les jeunes gens qui se font la cour en cachette des parents vont se causer drère les barges » amas de paille. Ailleurs, on dit Les bonnes gens ne veulent pas; mais i' s' font la cour drère la hâ. » Ou Quand la chieuv'e est do l'loup, le pâtou' a biau courre. » Coutumes diverses Lorsqu’un paysan est sur le point de se décider à faire sa cour, il se rend à la ferme et regarde les talons des sabots de la jeune fille qu’il a en vue s’ils sont bousous, c’est signe qu’elle soigne bien les vaches et qu’elle sera une bonne ménagère. Lorsqu’il y a des toiles d’araignées dans une maison, on dit qu’il n’y a pas de fille à marier. On les appelle des chasse-galants. Dans beaucoup de pays, la naissance d’un enfant avant le mariage est très redoutée, on la considère comme une sorte de honte qui rejaillit sur toute la famille. Aussi on dit Quand on trouve à marier les filles, il faut l’faire ; i’ n’ faut pas les mettre en t’nés les contraindre Il vaut mieux enheuder attacher que lever. En entrant dans une ferme pour y faire leur cour, les garçons déposent leur bâton près de la porte d’entrée s’ils sont bien aimés, la jeune fille vient prendre le bâton et le dépose près du banc du foyer. Dans les fermes, quand il est temps que les amoureux s’en aillent, la mère lève les tisons manière polie de les mettre à la porte. Quand on met les tisons en l’air, c’est dire aux amoureux qu’ils peuvent revenir, autrement, c’est signe de congé définitif. Présages de mariage – moyens de se faire aimer La croyance aux présages est très vivace à la campagne ;mais c’est surtout dans la période qui précède le mariage que les galants des deux sexes se consultent il y en a une grande variété qui sont relatifs à l’époque où se fera l’union,au choix du conjoint, etc. Les jeunes filles croient autant que les garçons à ces augures Les monuments préhistoriques sont l’objet de plusieurs pèlerinages A Rocge-Marie, près Saint-Aubin-du-Cormier, aux Faix-du-Diable, la Roche-Ecriante, en Montaukt, à la pierre du même nom, en Saint-George-de-Reintembault, les filles vont se frotter ou s’écrier se laisser glisser afin d’avoir la chance de se marier bientôt. A Plouër Côtes du Nord , lorsqu’une fille veut se marier dans l’année, elle va se laisser glisser à cu nu » sur la roche de Lesmon. Si elle arrive en bas sans s’écorcher, elle est assurée de trouver un mari avant douze mois. carte postale de la Roche de Lesmon en Plouër/Rance Si on peut grimper sur le menhir de la Tremblaye en Saint-Samson, on se marie également dans l’année Dans la commune de Saint-Pern, il existait naguère, non loin du château de Ligouyer, un arbre antique qui attirait les jeunes filles, auxquelles le seul contact de son écorce avait la vertu de procurer des maris. Si on mange une pomme devant une glace, on se marie dans l’année, à la condition que l’on voie aussi une étoile vers neuf ou dix heures du matin. Si les laveuses peuvent faire sept fois le tour du doué en tenant entre leurs dents l’encherroué, c’est-à-dire le drap à cendre, elles sont assurées de se marier bientôt. Si les pies font leur nid dans le jardin d’une ferme où il y a des filles à marier, l’une d’elles sera épousée dans l’année. Lorsqu’une couturière perd ses ciseaux en se rendant à son travail , le matin, le jeune homme qui les trouve sera son mari+ Dictons Quand une fille se marie avant son aînée, on dit qu'elle lui a fauché l'herbe sous le pied ou qu'elle lui a "écouelpé les choux" coupé les choux. On dit de la dernière fille qui reste à marier "olle est au bout du banc". Quand le mari est plus petit que sa femme, on dit "les souris enterront entreront dans la maie". Vous n'aimez point les chats, vous n'aurez point un bel homme. Vous aimez les chats, vous aurez un bel homme, ou une belle femme. Pour que le mariage soit chanceux, il faut qu'il y ait, pendant la noce, quelque objet cassé. S'il n'y a rien de cassé par accident, on en casse un exprès. Les mariages du mois de mai et du mois d'août sont malheureux, ces mois sont consacrés à la Vierge. On ne se marie pas non plus à la chandeleur, pas plus que le jour d'une fête quelconque de la Vierge. A Ercé on dit "dans les mariages du mois de mai, la pie bat le geai", c'est-à-dire, la femme bat son mari. La robe de mariée Au début du siècle, la mariée portait le costume traditionnel avec la coiffe, le châle et le tablier très souvent en velours mais il pouvait être fait dans un autre tissu Elle portait en plus une couronne de fleurs d'oranger et une sorte de guirlande sur le corsage et la jupe. A partir du milieu des années 20, la mariée portait la robe blanche. La couronne d'oranger et la guirlande étaient placés dans un globe en verre de forme ovale et d'une hauteur d'une trentaine de centimètres. Ce globe était exposé dans la pièce principale entre la cheminée et le lit des parents Le jour de la noce - SEVIGNAC début du XXe siècle Le marié et son garçon d’honneur viennent prévenir la mariée qu’i ll faut qu’elle s’habille. Parfois, c’est le garçon d’honneur et un autre jeune homme frère, cousin..=. Au début du 20ème siècle, la mariée ne se cache plus comme c’était le cas au siècle précédent. Puis les invités arrivent. On leur sert un encas en général de la charcuterie, du cidre, du vin et du café. Ce n’est pas inutile car on ne passera pas a table avant trois heures l’après midi. Bien sûr, on se rend à l’église à pied. Le violon , et plus tard l’accordéon, joue des airs qui aident à marcher et qui sont en général repris par les invités. A la sortie de l’église, les mariés lancent des bonbons aux gamins du bourg c’est la dégratée ». Avant de prendre le chemin de la maison du marié, on s’arrête dans un bistrot du bourg ou dans plusieurs et l’on danse. Puis le cortège repart, toujours en chantant !! Sur le chemin, les riverains arrêtent le cortège et offrent un petit coup a boire du cidre Lorsque l’on arrive en vue de la maison où a lieu le repas, Quelqu’un posté sur le chemin , tire un coup de fusil pour avertir Les cuisinières que le noce arrive on tue la mariée. ********* Le jour de la noce - avant 1886 Les violons et la vieille vont d’abord chez le jeune homme qui, avec son garçon d’honneur, ses parents et ses amis se rend chez la future. Celle-ci n’est pas habillée, et comme le futur lui fait observer "quel’heure s’avance" , elle répond "j’ai bien le temps". Autrefois à l’arrivée du futur, la mariée était cachée, presque toujours derrière l’armoire, et il devait la trouver. Quelquefois aussi, la mariée est introuvable, toute la noce se met à la chercher, on la trouve en général dans le cellier, ayant auprès d’elle une brique pot et une écuelle, et elle raccommode une paire de chausses. Celui qui la trouve la prie d’aller s’habiller pour se rendre au bourg. Mais elle semble ne pas comprendre de quoi il s’agit, et à toutes ces avances, elle répond en offrant du cidre. Enfin, après qu’on lui a bien expliqué les motifs pour lesquels elle doit aller au bourg, elle se laisse emmener et on la remet à la fille d’honneur pour être habillée Quand la toilette est achevée, il reste les souliers à mettre, mais quand on les cherche, ils ont disparus. Les parents de la mariée les ont cachés, le plus souvent sur la planche à pain, suspendue au plafond ou dans un panier accroché au même endroit. C’est le garçon d’honneur qui doit les découvrir et les décrocher ! Enfin, la noce peut se mettre en route, La happerie Si en cours de route la mariée aperçoit un chemin creux, elle quite aussi vite qu’elle peut, le gros de la noce et s’enfuit par ce chemin. C’est la garçon d’honneur qui est chargé de la rattraper. Cela s’appelle une happerie », et généralement, avant l’arrivée de la noce au bourg, il y a plusieurs happeries ». Dans certaines régions, la mariée essaye encore de s’enfuir après la cérémonie, lors du retour vers la maison. Le pauvre garçon d’honneur doit encore courir après elle et le soir il est rendu de fatigue. Si la garçon d’honneur ne peut rattraper la mariée, il passe pour un failli chien » un bon à rien La nuit de noces Jadis à Matignon, la première nuit était à la Vierge, la seconde à St-Joseph, la troisième au mari. En Basse Bretagne, la première nuit est à Dieu, la seconde à la Vierge . Quelquefois, il s’écoule quinze jours et même davantage avant la consommation du mariage. A Scaer, la première nuit est à Dieu, la seconde à la Vierge, la troisième au patron du mari, l'époux a seulement la quatrième.. A Sévignac, seule la première nuit était dédiée à la Vierge. Les nuits où les mariés ne cohabitent pas, le marié couche avec son garçon d’honneur et la mariée avec sa demoiselle d’honneur. Celui qui se met au lit le premier mourra le premier. Celui qui couche dans le devant du lit sera le maître à l’époque, c’était un lit de coin. le renoçon Le lendemain de la noce, il y a un repas qu’on appelle le renoçon ». Y assistent la famille proche, les voisins qui ont aidé au bon déroulement de la noce, éventuellement des parents âgés qui n’ont pas assisté à la noce. Ailleurs, ce repas a lieu le dimanche suivant, il s’appelle les regardailles ». Le troisième jour ou quelques jours plus tard, une messe est dite pour les défunts des deux familles, messe à laquelle assistent les deux mariés et leurs proches. L’anigement On termine la journée le renoçon par l’anigement. On couche les mariés dans le même lit, puis on leur présente la grillade. Elle est composée de petits morceaux de pain , à travers lesquels on a passé un fil dont on noue les deux extrémités. Il faut que les mariés mangent ce chapelet. On leur sert aussi du vin et du cidre. Pendant qu’ils mangent, les invités interpellent les mariés et plaisantent sur la nuit de noce. A Sévignac on appelle cette grillade la rôtie ». Les chansons Si ton p'tit cœur il l'aime, emmène là donc bis Jusqu'à son ménage Emmène là donc jusqu'à sa maison +++++ Allons nous en tous en chantant bis la mariée s'en va devant, son mari qui l'emmène la mariée s'en va devant, son parrain, sa marraine Depuis deux heures que nous marchons bis voici la ville que nous cherchons, la jolie ville voici la ville que nous cherchons qu'elle est jolie Au moment ou l'on apporte le repas, les violonneux disent Mettez du foin dans les ratiaux crêches Voici les ânes Mettez du foin dans les râtiaux Voici les ânes à qui qu'en faut - Au repas de noces, on chante des chansons et à la fin, le chanteur rajoute Toute chanson qui perd sa fin mérite avoir bis toute chanson qui perd sa fin mérite avoir un verre de vin ******* V'la ma chanson dite ma langue est quitte mes sabots sont d'bois ma langue n'est est pas bonne lecture ! travaux entièrement réalisés par Yvonne Guyot et Christine Pourcel [ Vêtements et accessoires ] [ Coutumes et Dictons ] [ Photos de Mariage ] [ Exposants et Visiteurs 2010 ] [ Les Cousamis en 2010 ] [ Tombola 2010 ]
La lettre du 18 avril 1858 laissait à la veille de la première entrevue entre le Monsieur qui s’impatientait » et la jeune fille qui s’en remet au Seigneur » voir le billet On marie Caroline. La lettre suivante, parmi celles qui sont conservées, date du 8 mai la décision est prise, les fiançailles ont eu lieu. Cette lettre du 8 mai est, comme la précédente, écrite par Caroline Duméril et adressée à sa cousine et amie Isabelle Latham. Caroline envoie une petite branche de son bouquet de fiançailles, à garder en souvenir. Ensuite, fin mai et début juin, se déroule le récit des préparatifs du mariage, toutes ces cérémonies », comme elle les nomme, qui accaparent Caroline Duméril. Les cadeaux et la corbeille J’ai déjà reçu plusieurs cadeaux dont Mathilde te parlera car je les lui ai montrés en grande partie dans cette intention ; je n’ai pas encore ma corbeille, mais je me doute un peu de ce qu’elle contiendra ; M. Mertzdorff est si bon et si généreux que j’ai grand peine à le retenir. 22-25 mai 1858 Sous le Second Empire, explique Anne Martin-Fugier Les rites de la vie privée bourgeoise », Histoire de la vie privée, 4 De la Révolution à la grande guerre, sous la direction de Michelle Perrot, 1987 la monstration des présents échangés dans les familles bourgeoises au moment du mariage est codifiée. La corbeille est envoyée par le fiancé le jour de la signature du contrat ; elle représente 5% du montant de la dot – soit une année de revenus. Elle est exposée dans le petit salon, comme les cadeaux offerts à la fiancée. J’ai reçu de fort beaux cadeaux, M. Mertzdorff m’a donné de superbes dentelles, toute une parure noire, une garniture blanche pour corsage ; un très beau châle, une montre, un livre de prières, une ombrelle blanche, une voilette délicieuse, un magnifique mouchoir, un bracelet en aluminium, que sais-je moi ? une bague avec un diamant etc. ! Ma belle-mère m’a donné une broche avec des diamants. J’ai reçu un magnifique bracelet, une cafetière en argent, une table à ouvrage en bois de rose, un dessus de pendule en bronze » 12 juin 1858 Dans l’énumération de Caroline Duméril se retrouvent les cadeaux rituellement offerts dentelles, bijoux, bibelots précieux, châles ; manque le missel. Le notaire, le curé, le maire Ce sont les trois personnages qui président à trois étapes cruciales du mariage. Sur ces moments, dans le cas de l’union de Caroline Duméril et Charles Mertzdorff, nous ne savons rien des recherches sur le contrat sont en cours. Les étapes et leur succession sont seulement énumérées dans la lettre du 12 juin 1858 signature du contrat le vendredi 11 juin le notaire s’est déplacé au domicile du grand-père de Caroline Duméril ; lundi 14 juin à 3 heures mariage à la mairie ; mardi 15, à midi, mariage à l’église. Habituellement, à Paris, le mariage civil précède d’un ou deux jours le mariage religieux, avec seulement quatre témoins et quelques proches parents. Entre temps, le 14 juin, Caroline écrit sa dernière lettre de jeune fille au curé de Saint Médard qui l’a élevée moralement », qui lui a montré, par l’exemple, ce que doit faire une âme chrétienne » lettre du 14 juin 1858. Sur la suite des cérémonies, le dîner de 40 personnes à 5 heures, d’autres détails sont donnés. Ce n’est pas une lettre qui présente les invités, mais une feuille manuscrite Repas de noces du mariage de Caroline, en Juin 1858 », qui est transcrite et reproduite sur le site dans la rubrique papiers familiaux, 1858-1883 ». En principe, si les frais occasionnés par le mariage à l’église sont à la charge du marié, le déjeuner est payé par les parents de la mariée. Le repas a lieu, comme la signature du contrat, au domicile du prestigieux grand-père, André Marie Constant Duméril, le savant logé au Jardin des Plantes. Son nom vient en second sur la liste des invités, juste après celui du curé. En quatrième position, avant les oncles et tantes du côté de la mariée, est inscrite Mme Dollfus », alors veuve cette cousine des Duméril, en relation par son mariage avec les Mertzdorff, a joué un rôle d’intermédiaire déterminant. Suivent les noms de parents proches du côté de la mariée Duméril puis du marié Mertzdorff et Heuchel. Au milieu d’eux, les mariés eux-mêmes sont en place 12 et 13. Sont invités des parents plus éloignés qui paraissent se distinguer par leur prestige Hippolyte Comte, avocat et industriel, leur talent le peintre Giuseppe Devers ; l’épouse du sculpteur Charles Cordier ou leur fortune André Fröhlich, gérant des Forges et Fonderies de Montataire ; Louis Sautter, ingénieur centralien, entrepreneur. Enfin, figurent les noms de quelques amis proches la famille Desnoyers, qui dans les années suivantes sera plus proche encore ; les de Tarlé ; les Dunoyer. Trois enfants de 7 à 11 ans mangent à part, dans le cabinet du professeur. Ces invités appartiennent à des mondes très variés au sein de la classe aisée le monde académique et celui de l’entreprise, mais aussi celui des artistes, de l’armée, de la fonction publique, des propriétaires. * Ensuite, les nouveaux mariés partent pour Fontainebleau et l’Alsace1. Pour la nouvelle vie en Alsace, voir le billet “Caroline Duméril, épouse de Charles Mertzdorff“. [↩] Méthode et contenu
Dimanche 13 février à Tarbes, un homme a été arrêté et placé en garde à vue pour violences conjugales. Son mariage avait eu lieu la lune de miel n'aura pas duré longtemps. Dimanche 13 février, un homme originaire de Tarbes Hautes-Pyrénées a été arrêté et placé en garde à vue après avoir frappé sa femme au lendemain de leur mariage. Tout a commencé le jour des noces. Samedi 12 février, après la cérémonie religieuse, les mariés et leurs invités prennent place dans une salle des fêtes tarbaise, raconte La Dépêche du Midi. Mais après quelques verres, le ton monte entre les jeunes mariés. "Maladivement jaloux" selon ses proches, l'homme insulte son épouse avant de lui saisir violemment le bras. La tension finit néanmoins par redescendre...Jusqu'au lendemain. Lors du rangement de la salle, le marié s'emporte à nouveau contre sa femme jusqu'à lui donner un violent coup de boule. Choquée, la jeune femme quitte la salle avec son beau-père, direction le commissariat. Dans sa main courante, elle explique que son mari l'accuse de le tromper. Depuis quelques mois, les disputes éclatent souvent entre eux et la violence n'est pas sous contrôle judiciaire, il a interdiction d'approcher son épouseInterpellé au domicile conjugal et déféré devant le tribunal de Tarbes, le jeune marié nie tous les faits qui lui sont reprochés malgré la présence de nombreux témoins. Toujours selon nos confrères de La Dépêche du Midi, celui-ci a été placé sous contrôle judiciaire et a interdiction d'entrer en contact avec son épouse. En situation irrégulière, il a par ailleurs été conduit au centre de rétention de Cornebarrieu, sous le coup d'une obligation de quitter le territoire.
Press J to jump to the feed. Press question mark to learn the rest of the keyboard shortcutsSearch within r/Senewebr/SenewebLog InSign UpFound the internet!r/SenewebPosts1Posted by1 year ago comments100% Upvotedno comments yetBe the first to share what you think!About Communityr/SenewebToute l'actualité du Sénégal en Temps Ré Sep 7, 2020Top posts may 21st 2021Top posts of may, 2021Top posts 2021
Si le mariage constitue pour beaucoup d’entre nous un évènement heureux qui relève d’un choix, il n’en est malheureusement pas le cas, pour des millions d’enfants dans le monde dont le destin est brisé, parce qu’ils se voient forcés de s’unir avec un homme plus vieux. Nos confrères du Guardian rapportent l’histoire bouleversante d’une fille de 8 ans qui a perdu la vie pendant sa nuit de noces. Bien que les faits aient été nié par les autorités locales, selon le site de fact checking » Snopes, les voisins confirment l’incident et affirment que ces derniers tenteraient simplement de dissimuler l’histoire. On vous en dit mariage d’enfants est une violation de leur droit le plus élémentaire celui de vivre. Un tel acte, abject et contre leur gré, condamne le développement de l’enfant, le privant de son éducation, de sa santé et de son avenir. Le mariage précoce représente un risque pour la vie des fillettes à bien des égards. Etant trop jeunes pour avoir des relations sexuelles et tomber enceintes, elles ne survivent pas à la nuit de noces ou meurent en couches, celles qui dépasseront ce cap vivront avec de graves séquelles ou seront victimes de violences et sévices. Dans la majorité des cas, ce sont les familles qui décident de marier leurs filles très tôt, parfois dès l’âge de 8 ans, pour des raisons multiples, financières mais aussi à des fins de transmission. Pour conserver la lignée, les fillettes sont mariées à un membre de la famille ou de la même communauté. Les filles ne sont pas les égales des garçons. Dans de nombreux pays, leurs parents les considèrent comme un fardeau ou moins productives que les garçons. Les marier leur évite de nombreuses dépenses et d’avoir une bouche en moins à nourrir. Comme il peut s’agir d’une tradition séculaire, avec laquelle il n’est pas envisageable pour ces parents de rompre, ainsi faire voudrait dire rompre avec la communauté. Dans certains pays, les fillettes servent de monnaie d’échange pour rembourser une dette, ou sont mariées à leur violeur pour éviter à la famille d’être enfance volée parmi tant d’autres Au Yémen, le mariage des filles, parfois âgées de 8 ans seulement, est très courant. Les chiffres sont alarmants, bien qu’il soit difficile de donner des statistiques exactes sur ce phénomène tabou et tu par beaucoup de familles. Les associations d’aide sociale révèlent que 13% des filles de moins de 18 ans au Yémen sont mariées, contre leur gré. Un chiffre qui pourrait être bien plus supérieur. Les histoires de mariées précoces qui se donnent la mort ou décèdent peu après leur mariage sont monnaie courante. Telle est le destin tragique d’une petite fille de 8 ans, dont la vie aurait basculé le jour où un homme, demande sa main à ses parents. La richesse de cet homme cinq fois plus âgé que la petite fille les ravit, l’âge de l’enfant lui etait indifférent. La pauvre petite fille serait morte de ses blessures subies durant sa nuit de noces. Elle n’aurait pas survécu aux blessures infligées par son mari lors des relations sexuelles son utérus se serait déchiré et la petite fille serait décédée des suites d’une hémorragie interne. Une histoire parmi tant d’autres, de destins avortés, censurées et démenties par les autorités qui essaient d’étouffer ce genre d’affaires. Le Centre yéménite pour les droits de l’Homme n’a de cesse demandé le vote d’une loi fixant l’âge minimum du mariage pour les femmes à 18 ans. Les islamistes et conservateurs du pays s’opposent fermement à ce qu’elle soit assortie de sanctions. En 2013, la petite Nada, seulement âgée de 11 ans s’était opposée avec courage et ténacité au mariage forcé auquel la destinait ses parents. La fillette avait posté sur Youtube, une vidéo devenue virale, pour dénoncer ces pratiques d’un autre âge. Aujourd’hui, Nada vit chez son oncle, son sauveur qui s’est chargé de son éducation. Lire aussi Cette enfant de 8 ans aurait succombé à ses blessures durant sa nuit de noces avec son mari de 40 ans
un jeune marié arrêté pendant un repas de noces