Directiongalaxie VOD, DVD et Blu-ray avec les bandes annonces et vidĂ©os des prochaines sorties en magasin ou en e-cinĂ©ma : La princesse et le monstre charmant de Viktor Glukhushin et Maksim Comparatifet avis sur les meilleurs vĂȘtements en 2022. Mes derniers articles. 12 substituts possibles de graines de nigelle dont vous ignoriez l’existence. David | 5 juin 2022 6 aoĂ»t 2022. Comment faire fondre la feta au micro-onde ? Suivez ces 2 Ă©tapes simples ! David | 2 juin 2022 6 aoĂ»t 2022. Joseph Smith a-t-il tentĂ© d’assassiner le gouverneur du Missouri, Etonnezvous. Le simple test ADN MyHeritage rĂ©vĂ©lera votre origine ethnique unique et vous mettra en relation avec de nouveaux parents. DĂ©couvrez les groupes spĂ©cifiques dont vous descendez parmi les 2 114 rĂ©gions gĂ©ographiques, et faites passer l'histoire familiale au niveau supĂ©rieur avec le test ADN le plus abordable du marchĂ©. TheSecret Life of Pets. We Can Be Heroes. Back to the Outback. Matilda. Walter. Spider-Man: Into the Spider-Verse. The Loud House Movie. Shrek. The AccĂšs: A la sortie de SĂšte aprĂšs le mĂŽle en direction de la Corniche. Afficher les concerts RESERVER 12-05-22. Lomepal donnera six concerts cet Ă©tĂ©, ses seuls en 2022. Mise en vente des billets aujourd'hui sur Infoconcert Ă  partir de 11h00. Fini les vacances pour le rappeur Lomepal dont nous n'avions plus de nouvelles depuis un moment. Le voilĂ  qu'il Hamlethubcom: Wilton Library streams Hot & Cool Jazz concert April 30. Press Release: MAMA JAZ announces April 2021 jazz programs, including culminating International Jazz Day celebration on April 30. The State Journal: KSU, city to host virtual performance to highlight International Jazz Day. Patch: Cityfest, Inc. . Trailers News et dossiers Photos Casting Date de sortie 08/07/2008 01h32 Titre original Hancock RĂ©alisĂ© par Peter Berg Avec Will Smith , Charlize Theron , Jason Bateman , Jae Head , Eddie Marsan , Darrell Foster , David Mattey , Brandon Ford Green , Thomas Lennon III , Johnny Galecki , Hayley Marie Norman , Trieu Tran , Ryan Radis , Daeg Faerch , Eddie J. Fernandez , Martin Klebba , Matt Bettinelli-Olpin , Samantha Cannon , Rico Devereaux , Alexa Havins , Edward M. Kelahan , Algerita Wynn Lewis , Rick Mali , Chris Mitchell , Scott Michael Morgan , Bryan Keith Ponton , Dawn Ressy , Nicholas Rich , Mark Simich , Nancy Grace , Brad Leland , Michael Mann , Atticus Shaffer , Peter Berg Genre Action, Fantastique NationalitĂ© États-Unis Action Fantastique Synopsis Hancock Il y a les hĂ©ros, les super-hĂ©ros et il y a... Hancock. Ses super pouvoirs lui ont souvent permis de sauver d'innombrables vies, mais les dĂ©gĂąts monstrueux qu'il fait au passage ont fini par le rendre impopulaire. Les habitants de Los Angeles n'en peuvent plus et se demandent ce qu'ils ont bien pu faire pour mĂ©riter un hĂ©ros » pareil. Hancock est une tĂȘte de mule irascible qui n'est pas du genre Ă  se soucier de ce que pensent les gens... du moins jusqu'Ă  ce qu'il sauve la vie de Ray Embrey, un spĂ©cialiste des relations publiques. Le super-hĂ©ros le plus dĂ©testĂ© au monde commence alors Ă  rĂ©aliser qu'il n'est pas aussi insensible qu'il voudrait le faire croire... critique Hancock Hancock critique de loser Iron Man, Hulk, Batman... il va aussi falloir compter avec Hancock Critique - Film 25/09/2017 derniĂšres news et dossiers Hancock Hancock et les super-hĂ©ros marginaux Quand on est un super-hĂ©ros marginal, il faut multiplier les dĂ©fauts en consĂ©quence. C’est ainsi qu’au dĂ©but de Hancock, Will Smith est super-affreux, Dossier - Film 08/07/2008 Suicide Squad un casting incroyable avec Will Smith et Jared Leto Enorme surprise pour le Gardiens de la Galaxie de DC Comics, Will Smith retrouve ses super pouvoirs. ActualitĂ© - Film 03/12/2014 Hancock 2 Tout le monde rempile Will Smith, Charlize Theron et Jason Bateman seront Ă  nouveau rĂ©unis dans Hancock 2, la suite des aventures du super hĂ©ros alcoolique et patibulaire. Peter ActualitĂ© - Film 11/09/2009 Voir toutes les news et dossiers sur Hancock derniĂšres bandes-annonces Hancock Voir toutes les bandes annonces de Hancock derniĂšres photos Hancock Voir toutes les photos de Hancock Regarder maintenant NoteGenresAction & Aventure , MystĂšre & Thriller , Crime & Thriller RĂ©alisateur Casting RĂ©sumĂ©Robert McCall sert inlassablement la justice au nom des exploitĂ©s et des opprimĂ©s. Mais jusqu’oĂč est-il prĂȘt Ă  aller lorsque cela touche quelqu’un qu’il aime ?Bundle OffersOĂč regarder Equalizer 2 en streaming complet et lĂ©gal ?En ce moment, vous pouvez regarder "Equalizer 2" en streaming sur Netflix. Il est Ă©galement possible de louer "Equalizer 2" sur Google Play Movies, Orange VOD, Microsoft Store, YouTube, Canal VOD, Amazon Video, Apple iTunes, Rakuten TV en ligne ou de le tĂ©lĂ©charger sur Apple iTunes, Microsoft Store, Canal VOD, Amazon Video, Rakuten TV, Google Play Movies, YouTube, Orange VOD. Ca pourrait aussi vous intĂ©resser Prochains films populaires Prochains films de Action & Aventure Oscar Emmanuel Peterson, pianiste de jazz, compositeur, formateur nĂ© le 15 aoĂ»t 1925 Ă  MontrĂ©al, au QuĂ©bec; dĂ©cĂ©dĂ© le 23 dĂ©cembre 2007 Ă  Mississauga, en Ontario. Oscar Peterson est un des musiciens canadiens les plus honorĂ©s. Il est largement considĂ©rĂ© comme l’un des plus grands pianistes de jazz de tous les temps. Oscar Peterson est cĂ©lĂšbre pour sa vitesse et sa dextĂ©ritĂ© remarquables, pour sa technique prĂ©cise et ornementĂ©e, pour son style Ă©blouissant et pour ses capacitĂ©s rythmiques exceptionnelles. Il a Ă©tĂ© surnommĂ© le bombardier brun du boogie-woogie » et le maĂźtre du swing ». Artiste prolifique sur disque, il a, en gĂ©nĂ©ral, enregistrĂ© chaque annĂ©e, depuis les annĂ©es 1950 jusqu’à sa mort, plusieurs albums. Il est apparu Ă©galement sur plus de deux cents albums d’autres artistes, notamment Ella Fitzgerald, Dizzy Gillespie, Billie Holiday et Louis Armstrong qui l’ont surnommĂ© l’homme aux quatre mains ». InĂ©vitablement, sa virtuositĂ© Ă©blouissante en tant que soliste Ă©clipsait sa sensibilitĂ© comme musicien de soutien et ses compositions plĂ©biscitĂ©es comme Canadiana Suite ou Hymn to Freedom. Également formateur de renom dans le domaine du jazz et dĂ©fenseur de l’égalitĂ© raciale, Oscar Peterson a gagnĂ© un prix Juno et huit prix Grammy, dont l’un pour l’Ɠuvre de toute une vie. Premier laurĂ©at du Prix du Gouverneur gĂ©nĂ©ral pour les arts du spectacle, catĂ©gorie rĂ©alisation artistique, il a Ă©tĂ© intronisĂ© au PanthĂ©on de la musique canadienne et Ă  l’International Jazz Hall of Fame. Il a Ă©galement Ă©tĂ© fait, parmi de nombreux autres honneurs, officier, puis compagnon de l’Ordre du Canada et officier de l’Ordre des Arts et des Lettres par le gouvernement français. Oscar Emmanuel Peterson, pianiste de jazz, compositeur, formateur nĂ© le 15 aoĂ»t 1925 Ă  MontrĂ©al, au QuĂ©bec; dĂ©cĂ©dĂ© le 23 dĂ©cembre 2007 Ă  Mississauga, en Ontario. Oscar Peterson est un des musiciens canadiens les plus honorĂ©s. Il est largement considĂ©rĂ© comme l’un des plus grands pianistes de jazz de tous les temps. Oscar Peterson est cĂ©lĂšbre pour sa vitesse et sa dextĂ©ritĂ© remarquables, pour sa technique prĂ©cise et ornementĂ©e, pour son style Ă©blouissant et pour ses capacitĂ©s rythmiques exceptionnelles. Il a Ă©tĂ© surnommĂ© le bombardier brun du boogie-woogie » et le maĂźtre du swing ». Artiste prolifique sur disque, il a, en gĂ©nĂ©ral, enregistrĂ© chaque annĂ©e, depuis les annĂ©es 1950 jusqu’à sa mort, plusieurs albums. Il est apparu Ă©galement sur plus de deux cents albums d’autres artistes, notamment Ella Fitzgerald, Dizzy Gillespie, Billie Holiday et Louis Armstrong qui l’ont surnommĂ© l’homme aux quatre mains ». InĂ©vitablement, sa virtuositĂ© Ă©blouissante en tant que soliste Ă©clipsait sa sensibilitĂ© comme musicien de soutien et ses compositions plĂ©biscitĂ©es comme Canadiana Suite ou Hymn to Freedom. Également formateur de renom dans le domaine du jazz et dĂ©fenseur de l’égalitĂ© raciale, Oscar Peterson a gagnĂ© un prix Juno et huit prix Grammy, dont l’un pour l’Ɠuvre de toute une vie. Premier laurĂ©at du Prix du Gouverneur gĂ©nĂ©ral pour les arts du spectacle, catĂ©gorie rĂ©alisation artistique, il a Ă©tĂ© intronisĂ© au PanthĂ©on de la musique canadienne et Ă  l’International Jazz Hall of Fame. Il a Ă©galement Ă©tĂ© fait, parmi de nombreux autres honneurs, officier, puis compagnon de l’Ordre du Canada et officier de l’Ordre des Arts et des Lettres par le gouvernement français. Jeunesse, famille et formation Oscar Peterson est le quatriĂšme d’une fratrie de cinq enfants. Il est Ă©levĂ© dans le quartier de Saint-Henri Ă  MontrĂ©al, Ă©galement connu sous le nom de Petite-Bourgogne, par des parents venus de Saint-Kitts-et-Nevis et des Ăźles Vierges britanniques. Voir aussi Canadiens d’origine antillaise. Sa mĂšre, Kathleen, travaille comme domestique. Son pĂšre, Daniel, est d’abord manƓuvrier dans la marine marchande avant de devenir porteur pour le Canadien Pacifique. Organiste amateur autodidacte et partisan d’une discipline stricte, il dirige le groupe musical familial Ă  l’occasion de concerts dans des Ă©glises et des salles communautaires. Il insiste pour que tous les enfants Peterson apprennent le piano et un instrument Ă  vent de la famille des cuivres. Chacun d’entre eux enseigne la musique Ă  son tour Ă  l’enfant qui le suit. Oscar s’initie Ă  la trompette et au piano Ă  l’ñge de cinq ans. Toutefois, il se consacre exclusivement au piano Ă  partir de huit ans, Ă  la suite d’une bataille d’un an contre la tuberculose la maladie emporte la vie de son frĂšre aĂźnĂ©, Fred, Ă  l’ñge de seize ans. Sa sƓur, Daisy, est la premiĂšre Ă  enseigner le piano Ă  Oscar. Plus tard, elle deviendra une professeure de piano respectĂ©e de la communautĂ© noire de MontrĂ©al. Ses Ă©lĂšves ultĂ©rieurs comprennent des musiciens de jazz comme Oliver Jones, Joe Sealy et Reg Wilson. Le frĂšre d’Oscar Peterson, Chuck, devient joueur de trompette professionnel. Son autre sƓur, May, enseigne Ă©galement le piano et travaille temporairement comme assistante personnelle de son frĂšre Oscar. Durant son enfance et son adolescence, Oscar Peterson Ă©tudie avec des professeurs aux antĂ©cĂ©dents extrĂȘmement variĂ©s. À douze ans, il prend briĂšvement des leçons de piano auprĂšs de Louis Hooper, un pianiste canadien de formation classique, ancien de la scĂšne du jazz de Harlem des annĂ©es 1920. Plus tard, il suit des cours au Conservatoire de musique du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al, puis, Ă  quatorze ans, il se forme auprĂšs de Paul de Marky, un pianiste concertiste hongrois dans la tradition du 19e siĂšcle de Franz Liszt. Oscar Peterson est Ă©galement condisciple du joueur de trompette Maynard Ferguson. Ils jouent d’ailleurs ensemble dans un groupe animant des soirĂ©es dansantes dirigĂ© par Percy, le frĂšre de Maynard. DĂ©but de carriĂšre À 14 ans, Oscar Peterson s’inscrit Ă  un concours amateur parrainĂ© par Ken Soble, une personnalitĂ© de la radio. Il est encouragĂ© par sa sƓur Daisy, qui participe Ă©galement au financement de ses Ă©tudes. Oscar Peterson remporte le premier prix, d’un montant de 250 $. Peu aprĂšs, il commence Ă  se produire Ă  l’occasion de sa propre Ă©mission hebdomadaire de radio, Fifteen Minutes Piano Rambling, sur la station montrĂ©alaise CKAC. En 1941, il passe Ă  l’émission Rhythm Time de la station de radio CBM. En 1945, on peut l’entendre d’un ocĂ©an Ă  l’autre dans Light Up and Listen et dans The Happy Gang sur CBC. La maĂźtrise grandissante du clavier dont fait preuve Oscar Peterson tĂ©moigne de sa formation classique. Cela Ă©tant dit, l’influence des pianistes populaires amĂ©ricains Nat King Cole et Teddy Wilson, et surtout de son idole Art Tatum, l’oriente clairement vers un avenir dans le jazz. MĂȘme une affection chronique d’arthrite qui se dĂ©clare, pour la premiĂšre fois, durant son adolescence n’est pas en mesure de ralentir ses progrĂšs. Pendant cette pĂ©riode, il reçoit des offres de Jimmie Lunceford et de Count Basie pour dĂ©mĂ©nager aux États-Unis et rejoindre leurs groupes. Cependant, ses parents ont le sentiment qu’il est trop jeune et n’autorisent pas un tel changement. Oscar Peterson devient une cĂ©lĂ©britĂ© sur la scĂšne musicale montrĂ©alaise au dĂ©but des annĂ©es 1940. Il quitte l’école secondaire Ă  l’ñge de dix-sept ans pour jouer, en tant que soliste vedette, de 1943 Ă  1947, avec le Johnny Holmes Orchestra, un orchestre de danse populaire, par ailleurs composĂ© exclusivement de Blancs. Le pĂšre d’Oscar Peterson n’est pas convaincu de la pertinence de laisser son fils quitter l’école pour se lancer dans une carriĂšre musicale. Il lui aurait toutefois dit Si tu dois te lancer et devenir pianiste, ne deviens pas un pianiste de plus, sois le meilleur! » PremiĂšre vedette canadienne de jazz Oscar Peterson rĂ©alise ses premiers enregistrements pour RCA Victor en mars 1945. Bien que ses premiĂšres productions, notamment I Got Rythm et The Sheik of Araby, mettent en valeur son talent pour le style boogie-woogie qui lui a valu le surnom de bombardier brun du boogie-woogie ». Elles rĂ©vĂšlent aussi l’extraordinaire technique qui va caractĂ©riser son jeu pendant toute sa carriĂšre. De 1945 Ă  1949, Oscar Peterson enregistre pour RCA Victor seize 78 tours reprĂ©sentant trente-deux morceaux au total. Les derniers enregistrements suggĂšrent une influence du bebop. En 1994, ces morceaux sont compilĂ©s sur un CD rĂ©alisĂ© par BMG France, puis proposĂ©s sous une nouvelle forme par BMG Canada, en 1996, sous le titre The Complete Young Oscar Peterson 1945–1949. La popularitĂ© de ces enregistrements fait d’Oscar Peterson la premiĂšre vĂ©ritable vedette du jazz que le Canada peut considĂ©rer comme Ă©tant rĂ©ellement un enfant du pays. Ses passages Ă  la radio de la CBC et ses deux tournĂ©es dans l’Oouest canadien, en 1946, contribuent aussi Ă  sa popularitĂ© croissante. En 1947, il est tĂȘte d’affiche Ă  l’Alberta Lounge Ă  MontrĂ©al avec son propre trio composĂ© d’Austin Ozzie » Roberts Ă  la contrebasse et de Clarence Jones Ă  la batterie. Le guitariste Ben Johnson remplace occasionnellement ce dernier. La radio montrĂ©alaise CFCF retransmet des prestations du trio Ă  partir de l’Alberta Lounge. La bande-son du court-mĂ©trage innovant et primĂ© de 1949 de Norman McLaren, rĂ©alisĂ© dans le cadre de l’ Office national du film du Canada, Begone Dull Care, constitue l’autre tĂ©moignage sonore des annĂ©es montrĂ©alaises d’Oscar Peterson. À la fin des annĂ©es 1940, cependant, Oscar Peterson a pratiquement Ă©puisĂ© le marchĂ© limitĂ© du jazz au Canada. Sa rĂ©putation de pianiste talentueux atteint bientĂŽt les États-Unis. AprĂšs une tournĂ©e Ă  MontrĂ©al, Dizzy Gillespie attire l’attention du compositeur et producteur de disques Leonard Feather sur Oscar Peterson en ces termes Il y a lĂ -bas un pianiste qui dĂ©passe l’entendement. Tu n’as jamais rien entendu de tel! Il faut absolument que nous le mettions au programme d’un concert. » Toutefois, Leonard Feather ne donne pas suite. De la mĂȘme façon, bien qu’ayant entendu parler d’Oscar Peterson par l’intermĂ©diaire de Coleman Hawkins et de Billy Strayhorn. L’impresario de jazz et producteur de disques amĂ©ricain Norman Granz s’abstient de contacter le pianiste canadien jusqu’à une visite qu’il effectue Ă  MontrĂ©al en 1949. À cette occasion, il est en chemin pour l’aĂ©roport afin de quitter la ville lorsqu’il entend Ă  la radio la retransmission, depuis l’Alberta Lounge, d’une prestation d’Oscar Peterson. Il demande alors au chauffeur de taxi de l’y conduire immĂ©diatement. PrĂ©sentation amĂ©ricaine Norman Granz devient le gestionnaire d’Oscar Peterson. Il dĂ©cide de le prĂ©senter au public amĂ©ricain lors d’un concert du Jazz at the Philharmonic JATP Ă  New York au Carnegie Hall le 18 septembre 1949. Le programme de ce concert comprend des gĂ©ants du jazz comme Charlie Parker, Buddy Rich, Roy Eldridge et Lester Young. N’ayant pu obtenir un visa de travail pour Oscar Peterson dans les dĂ©lais, Norman Granz dĂ©cide de le placer dans le public et d’appeler ce gaillard de plus de 190 cm pesant prĂšs de 110 kg Ă  monter sur scĂšne comme invitĂ© surprise. La prestation d’Oscar Peterson avec le contrebassiste Ray Brown fait vĂ©ritablement sensation et DownBeat la dĂ©crit comme ayant littĂ©ralement interrompu subitement le cours du concert, figeant les auditeurs de stupeur ». Ce moment s’avĂšre dĂ©cisif pour Oscar Peterson; il marque le dĂ©but d’une carriĂšre internationale d’une productivitĂ© exceptionnelle et d’une qualitĂ© remarquable. Points saillants de sa carriĂšre Norman Granz devient un ami proche d’Oscar Peterson et reste son gestionnaire jusqu’en 1988. Sous ses conseils, Oscar Peterson effectue des tournĂ©es avec le Jazz at the Philharmonic de 1950 Ă  1952. Ses prestations qui sont autant de morceaux de bravoure, que ce soit en concert ou sur disque, s’inscrivent immĂ©diatement dans l’imaginaire du public amĂ©ricain. La premiĂšre place, occupĂ©e plus de quinze fois en vingt-trois ans de 1950 Ă  1954, de 1958 Ă  1963, de 1965 Ă  1967 et en 1972 au classement de la catĂ©gorie piano » dans les sondages d’opinion rĂ©alisĂ©s par le magazine DownBeat auprĂšs de ses lecteurs, tĂ©moigne de la popularitĂ© toujours croissante et qui ne se dĂ©ment jamais d’Oscar Peterson. Outre de nombreuses autres enquĂȘtes du mĂȘme type, il sort Ă©galement grand gagnant du sondage rĂ©alisĂ© par le magazine auprĂšs des critiques en 1953. Oscar Peterson effectue, en 1950, ses premiers enregistrements pour l’étiquette de Norman Granz, Verve, avec Ray Brown comme contrebassiste. Leur version de Tenderly s’avĂšre particuliĂšrement populaire. En 1951, Oscar Peterson forme un trio avec Ray Brown, qui devient un pilier des groupes d’Oscar Peterson pour les quinze annĂ©es suivantes, et le batteur Charlie Smith. Ce dernier est rapidement remplacĂ© par un guitariste Irving Ashby qui faisait auparavant partie du trio de Nat King Cole, Barney Kessel puis Herb Ellis qui se joint au groupe en 1953. Le trio Peterson-Brown-Ellis est considĂ©rĂ© par beaucoup comme le meilleur trio piano-contrebasse-guitare jamais constituĂ©. Il devient en outre cĂ©lĂšbre pour ses solos passionnĂ©s et spontanĂ©s ainsi que pour sa capacitĂ© Ă  jouer sur les tempi les plus casse-cou et Ă  s’attaquer aux arrangements les plus complexes. En 1952, 1953 et 1954, Oscar Peterson effectue des tournĂ©es en Europe avec le JATP. Il y revient annuellement avec son trio, souvent en compagnie de la chanteuse Ella Fitzgerald. En 1953, Oscar Peterson effectue la premiĂšre apparition d’une longue sĂ©rie au Japon. Au dĂ©but des annĂ©es 1950, alors qu’il joue dans un club Ă  Washington, Oscar Peterson rencontre son idole, Art Tatum. Les deux tissent une solide amitiĂ©. Oscar Peterson se produit dans plusieurs festivals internationaux comme le Festival international de musique de MontrĂ©al, le Festival de Stratford, le Festival Shaw et le Festival international de Vancouver , et fait de frĂ©quentes apparitions dans des clubs canadiens. Son trio enregistre, en 1956, Ă  Stratford, un 33 tours trĂšs applaudi, Oscar Peterson at the Stratford Shakespearean Festival. En 1958 Ă  la Town Tavern de Toronto, il enregistre un autre album Ă  succĂšs On the Town. Tout au long de sa carriĂšre, Oscar Peterson reste fidĂšle au Canada. Il dĂ©mĂ©nage en 1958 de MontrĂ©al Ă  Toronto, puis, non loin de lĂ , Ă  Mississauga. En 1958, Herb Ellis quitte le trio. En 1959, Oscar Peterson modifie sa composition pour passer Ă  un trio piano-contrebasse-batterie en intĂ©grant le batteur Ed Thigpen, cĂ©lĂšbre pour sa sensibilitĂ© et son travail mĂ©ticuleux avec les balais. Le trio Peterson de cette pĂ©riode est acclamĂ© pour son sens apparemment tĂ©lĂ©pathique du jeu interactif et pour sa virtuositĂ©. Night Train, enregistrĂ© en 1962 avec son trio, s’avĂšre ĂȘtre l’un des albums d’Oscar Peterson ayant rencontrĂ© le plus grand succĂšs commercial. Canadiana Suite, enregistrĂ© en 1964, est l’un de ceux qui seront les plus applaudis. Entre 1963 et 1968, Oscar Peterson enregistre une sĂ©rie d’albums solos pour MPS intitulĂ©e Exclusively for my Friends. AprĂšs le dĂ©part de Ray Brown et d’Ed Thigpen en 1965, il intĂšgre le contrebassiste Sam Jones et le batteur Louis Hayes. Ce dernier est remplacĂ© en 1967 par Bobby Durham. Entre 1967 et 1971, il enregistre essentiellement Ă  Villingen en Allemagne de l’Ouest pour l’étiquette Saba qui deviendra ultĂ©rieurement MPS. À partir de 1970, Oscar Peterson se produit quasi exclusivement en solo. En 1972, il renoue toutefois avec la formule du petit ensemble avec le guitariste Joe Pass et le contrebassiste Niels-Henning Ørsted Pedersen. Le succĂšs de ce trio est comparable Ă  celui remportĂ© par le groupe que formaient Oscar Peterson, Ray Brown et Herb Ellis. Dans les annĂ©es 1970, Oscar Peterson collabore avec des artistes tels que Ella Fitzgerald, Count Basie, Roy Eldridge, Dizzy Gillespie et StĂ©phane Grappelli pour ses albums enregistrĂ©s sous l’étiquette Pablo. Au milieu des annĂ©es 1970, la cote d’Oscar Peterson est propulsĂ©e Ă  un niveau particuliĂšrement Ă©levĂ© auprĂšs de la critique et lui vaut d’ĂȘtre pleinement reconnu par l’industrie. Quatre albums sont rĂ©compensĂ©s de prix Grammy The Trio 1973, The Giants 1974, Oscar Peterson and the Trumpet Kings – Jousts 1974 et Montreux ’77 1977. Il sort Ă©galement des disques d’enregistrements de concerts Ă  Tokyo, Ă  Amsterdam, Ă  Paris, Ă  Londres, Ă  La Haye et Ă  New York. En dĂ©pit de l’arthrite dont il souffre depuis son adolescence, Oscar Peterson conserve un calendrier chargĂ© de tournĂ©es internationales pendant la majoritĂ© des annĂ©es 1980. Il joue en duo et rĂ©alise un enregistrement avec le pianiste Herbie Hancock et offre plusieurs prestations au Festival international de jazz de MontrĂ©al, notamment un concert avec l’Orchestre symphonique de MontrĂ©al au Forum en 1984. Il se produit Ă©galement Ă  l’ Ontario Place Forum et au Roy Thomson Hall dans le cadre de festivals de jazz Ă  Toronto. Son album If You Could See Me Now, enregistrĂ© en quartet en 1983 avec Joe Pass, Ørsted Pedersen et Martin Drew, lui vaut, en 1987, le prix Juno du meilleur album de jazz. Toutefois, Ă  la fin de la dĂ©cennie, son arthrite s’aggrave. ConsĂ©quemment, il est contraint d’allĂ©ger le calendrier de ses prestations Ă  l’étranger Ă  quelques semaines chaque annĂ©e en Europe, au Japon et aux États-Unis. En 1990, il reforme le trio avec Ray Brown et Herb Ellis, produisant plusieurs albums, trĂšs bien accueillis, de leurs prestations au club Blue Note Ă  New York. Live at the Blue Note et Saturday Night at the Blue Note, tous deux sortis en 1990, remportent trois prix Grammy. Last Call at the Blue Note, un album Ă©galement sorti en 1990, est quant Ă  lui sĂ©lectionnĂ© pour les prix Juno. En 1993, quelques mois aprĂšs une opĂ©ration de remplacement de la hanche, Oscar Peterson est frappĂ© par un AVC alors qu’il joue au Blue Note. Son cĂŽtĂ© gauche est particuliĂšrement touchĂ©, ce qui le force Ă  annuler ses engagements. Il ne reprend ses prestations que graduellement, aprĂšs une rĂ©cupĂ©ration de deux ans. Sa main gauche est clairement diminuĂ©e, rĂ©duisant notablement les solides qualitĂ©s contrapuntiques caractĂ©ristiques de son jeu habituel. Il continue toutefois Ă  effectuer des tournĂ©es, Ă  composer et Ă  enregistrer. L’animateur et producteur de radio Ross Porter prĂ©cise Ă  ce propos Ce qu’il est capable de faire en jouant avec la moitiĂ© des moyens dont disposent les autres pianistes le place encore des annĂ©es-lumiĂšre au-dessus de n’importe qui d’autre. » Oscar Peterson se produit au Carnegie Hall en 1995 et lors d’un hommage qui lui est rendu, en 1996, Ă  l’hĂŽtel de ville de New York. Son album de 1996, Oscar Peterson Meets Roy Hargrove and Ralph Moore, est sĂ©lectionnĂ©, en 1997, pour un prix Juno. Il joue au Massey Hall et au Roy Thomson Hall Ă  Toronto et se produit ponctuellement lors de festivals de jazz comme le festival JVC 2001 de Toronto et diffĂ©rents autres festivals en Europe. En 2001, il effectue Ă©galement une tournĂ©e Ă  Seattle, Los Angeles et San Francisco. À cette date, on dĂ©compte plus de cent-trente albums enregistrĂ©s sous son propre nom, principalement pour les Ă©tiquettes Verve de 1950 Ă  1964, MPS de 1967 Ă  1971, Pablo de 1972 Ă  1986 et Telarc Ă  partir de 1990. En 2002, Oscar Peterson publie ses mĂ©moires sous le titre A Jazz Odyssey The Life of Oscar Peterson. Wynton Marsalis, Marian McPartland, Hank Jones et Clark Terry sont Ă  l’affiche d’un concert hommage organisĂ© au Carnegie Hall le 8 juin 2007 dans le cadre du festival de jazz Fujitsu. Bien qu’également prĂ©vu au programme, Oscar Peterson doit renoncer Ă  se produire en raison de son Ă©tat de santĂ© prĂ©caire. Il dĂ©cĂšde d’une insuffisance rĂ©nale Ă  son domicile de Mississauga en dĂ©cembre de cette mĂȘme annĂ©e. Compositions Comme compositeur, Oscar Peterson Ă©crit et enregistre un grand nombre de thĂšmes de jazz. Son cĂ©lĂšbre Hymn to Freedom », sur l’album Night Train sorti en 1962, devient l’hymne emblĂ©matique du mouvement des droits civiques aux États-Unis pendant les annĂ©es 1960. Des versions de Hymn to Freedom sont enregistrĂ©es, dans les annĂ©es 1980, par Oliver Jones et Doug Riley. La composition la plus importante et la plus cĂ©lĂšbre d’Oscar Peterson est sans contredit Canadiana Suite. Cette Ɠuvre de 1964 constitue un tour d’horizon programmatique en huit parties des caractĂ©ristiques les plus remarquables du pays, dont Wheatland » les prairies, Hogtown Blues » Toronto et Land of the Misty Giants » les Rocheuses. Canadiana Suite, qu’il dĂ©crit lui-mĂȘme comme un portrait musical du Canada que j’aime », est sĂ©lectionnĂ©e, en 1965, pour le prix Grammy de la meilleure composition de jazz. Phil Nimmons et Ron Collier en produisent des arrangements pour big band et Rick Wilkins, auteur de nombreuses orchestrations pour Oscar Peterson, pour orchestre. En 1977, Oscar Peterson Ă©crit City Lights, une valse sur Toronto, pour les Ballets Jazz de MontrĂ©al. En 1979, il compose The African Suite puis, en 1981, A Royal Wedding Suite pour le mariage du prince Charles et de la princesse Diana et enfin Easter Suite en 1984. En 1985, il Ă©crit, Ă  l’occasion d’une commande pour le 300e anniversaire de la naissance de Jean-SĂ©bastien Bach, une composition pour trio de jazz et orchestre qu’il donne en premiĂšre avec l’Orchestre du Centre national des arts au Roy Thomson Hall de Toronto. En 1988, Ă  l’occasion des Jeux olympiques d’hiver de Calgary, il compose Ă©galement une suite pour le mĂȘme type de formation. Sa suite Trail of Dreams A Canadian Suite, inspirĂ©e par le Sentier transcanadien et commandĂ©e pour les cĂ©lĂ©brations musicales de l’an 2000, est donnĂ©e en premiĂšre cette annĂ©e-lĂ  au Roy Thomson Hall de Toronto. Les compositions d’Oscar Peterson sont enregistrĂ©es par de grands noms du jazz comme Count Basie, Ray Brown, Ray Charles, Ella Fitzgerald, Roy Eldridge, Marian McPartland, Dizzy Gillespie et Milt Jackson. Hallelujah Time, Blues for Big Scotia, The Smudge, Bossa Beguine, A Little Jazz Exercise, Tippin’, Mississauga Rattler, Samba Sensitive, ainsi qu’un grand nombre d’autres compositions de blues conçues de façon informelle, comptent parmi ses autres Ɠuvres Ă©crites pour des groupes de jazz. Certaines sections de suites Ă©crites par Oscar Peterson, par exemple Nigerian Marketplace » extraite de son African Suite, sont Ă©galement jouĂ©es et enregistrĂ©es sous la forme de piĂšces indĂ©pendantes. Pour le cinĂ©ma, Oscar Peterson Ă©crit et enregistre Blues for Allan Felix que l’on entend dans la comĂ©die de Woody Allen, sortie en 1972, Play It Again Sam. Il compose aussi la musique du long-mĂ©trage de 1977 The Silent Partner qui obtient un prix au PalmarĂšs du film canadien en 1978, ainsi que des documentaires Big North et Fields of Endless Day. Ce dernier, produit par l’Office national du film du Canada et par l’Office de la tĂ©lĂ©communication Ă©ducative de l’Ontario, raconte l’histoire des Noirs canadiens. La partition qu’il Ă©crit pour le documentaire biographique In the Key of Oscar reçoit un prix Gemini en 1993. Style et approche Ses Ă©tudes auprĂšs de Paul de Marky conduisent Oscar Peterson Ă  s’inscrire dans la tradition pianistique de Franz Liszt. Son jeu met Ă©galement en Ă©vidence des influences impressionnistes et romantiques tardives, ainsi que le fait observer Hugh Thompson dans le Daily Star aprĂšs un concert Ă  Toronto en 1950 Sa version de Tenderly penche fortement, dans ses harmonies, vers Debussy et Ravel et son interprĂ©tation de Little White Lies Ă©voque irrĂ©mĂ©diablement Rachmaninov. » Dans le domaine du jazz, Oscar Peterson reconnaĂźt les influences d’Art Tatum, de Teddy Wilson, de Hank Jones et de Nat King Cole auquel il ressemble particuliĂšrement dans les rares occasions oĂč il chante. Le style d’Oscar Peterson peut ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme le produit des annĂ©es 1940, une pĂ©riode de transition pour le jazz. MĂȘme dans ses derniĂšres annĂ©es, il passe, avec une grande libertĂ© d’un idiome de son temps Ă  un autre, du stride au bebop. Gene Lees rapporte dans Maclean’s les propos du pianiste et compositeur argentin Lalo Schiffrin Oscar joue du piano comme un vĂ©ritable romantique, au sens du XIXe siĂšcle, en y ajoutant la tradition jazz afro-amĂ©ricaine du XXe siĂšcle. C’est un authentique virtuose de tout premier plan. » Commentant cette citation, Gene Lees ajoute Il s’agit lĂ  d’une rĂ©action frĂ©quente Oscar Peterson dispose d’une vitesse Ă©tonnante que seuls Phineas Newborn et Art Tatum son mentor et l’une de ses idoles ont Ă©galĂ©e. Il fait montre, toutefois, d’un niveau de puissance dans son swing direct qu’Art Tatum n’a jamais atteint. Ses idĂ©es ne sont pas toujours originales dans une mauvaise soirĂ©e, il a constamment recours Ă  des phrases et Ă  un vocabulaire musical qui lui sont propres parfaitement identifiables, faisant Ă©galement appel Ă  quelques schĂ©mas musicaux appartenant Ă  d’autres comme cette curieuse figure chromatique circulaire qu’il a trouvĂ©e chez Dizzy Gillespie. Cependant, mĂȘme lorsqu’il se limite Ă  ce type de prestation, son jeu — caractĂ©risĂ© par des passages rapides clairs comme du cristal et Ă  l’équilibre parfait Ă©voquant des torrents d’étincelles, par de magnifiques accords plaquĂ©s au moment parfait du swing, la main gauche jouant, apparemment sans effort, des dixiĂšmes et pouvant, je suppose, s’il le souhaitait, jouer Ă©galement des douziĂšmes, et par des passages vertigineux en octaves utilisant la main gauche avec une habiletĂ© Ă©gale Ă  la droite — peut se montrer Ă©lectrisant. » Critiques et louanges Paradoxalement, c’est le principal atout d’Oscar, sa technique, qui lui vaut ses critiques les plus sĂ©vĂšres; en effet, en dĂ©pit de l’immense facilitĂ© dont il fait preuve lors de ses prestations, on lui reproche de noyer la substance sous un mĂ©lange de styles quelque peu indigeste et de manquer de chaleur Ă©motionnelle. En 1973, le critique musical du Times of London, John S. Wilson, Ă©crit Durant ces vingt derniĂšres annĂ©es, Oscar Peterson a Ă©tĂ©, par son jeu, l’un des pianistes les plus Ă©blouissants dans l’illustration de ce qu’est l’école des doigts qui volent sur le clavier. Ses prestations ont eu tendance Ă  ĂȘtre des dĂ©monstrations techniques parfaitement exĂ©cutĂ©es, mais terriblement faibles sur le plan de la projection Ă©motionnelle. » Le New York Times prĂ©cise dans sa nĂ©crologie ... de nombreux critiques estiment que M. Peterson a Ă©tĂ© plus suiveur qu’original, spĂ©cialement au dĂ©but de sa carriĂšre. Certains suggĂšrent mĂȘme que sa fabuleuse technique manquait de cohĂ©rence et situait son jeu presque systĂ©matiquement au-delĂ  de ce que l’auditeur pouvait percevoir. » JazzTimes dĂ©crit les prestations d’Oscar Peterson comme Ă©tant plus athlĂ©tiques qu’esthĂ©tiques ». Il prĂ©tend que des morceaux susceptibles de le rĂ©vĂ©ler Ă  lui-mĂȘme deviennent, entre ses mains, Ă©lĂ©gants, impeccablement exĂ©cutĂ©s, mais empreints de dĂ©tachement ». Le musicologue de renom Max Harrison et le chroniqueur du New Yorker Whitney Baillett estiment, quant Ă  eux, que le style d’Oscar Peterson est dĂ©sinvolte et superficiel. De son cĂŽtĂ©, Miles Davis critique les capacitĂ©s d’Oscar Peterson Ă  jouer en mode interactif, prĂ©cisant, Ă  cet Ă©gard Il joue pratiquement tout avec le mĂȘme niveau d’intensitĂ©, ne laissant aucun intervalle pour la section rythmique. » Peter Goddard, du Toronto Star , fait un jour observer ... sĂ©duire le public avec un doigtĂ© qui se dĂ©ploie Ă  la vitesse de l’éclair interpelle les critiques qui en viennent Ă  penser que la vitesse est finalement sa seule qualité  Alors que, dans les annĂ©es 1950, on lui a dĂ©cernĂ© le titre de “plus grand pianiste de jazz vivant”, en 1961, le critique britannique Burnett James Ă©reinte Oscar Peterson en indiquant que selon lui, une telle opinion “n’a plus cours dans les cercles de jazz sĂ©rieux”. » Cependant, les inconditionnels d’Oscar Peterson s’avĂšrent, en gĂ©nĂ©ral, plus nombreux que ses dĂ©tracteurs. Duke Ellington le surnomme le maharadjah du clavier » et dit de lui qu’il est au-delĂ  des catĂ©gories ». Au dĂ©but des annĂ©es 1990, le pianiste respectĂ© Hank Jones prĂ©cise Oscar Peterson dĂ©passe de la tĂȘte et des Ă©paules n’importe quel autre pianiste vivant. Oscar reprĂ©sente un sommet. Il est le monarque incontestĂ© de tous les pianistes de jazz. Aucun doute lĂ -dessus! » La pianiste Ă  succĂšs Marian McPartland le dĂ©crit comme le technicien le plus subtil que j’aie jamais vu », le pianiste et chef d’orchestre AndrĂ© Previn lui dĂ©cernant le titre du meilleur » des pianistes de jazz. AprĂšs le dĂ©cĂšs d’Oscar Peterson, The Independent parle de lui comme d’une explosion de talent » susceptible de s’approprier pleinement n’importe quel style pianistique de jazz
 et de swinguer plus fort que tout autre pianiste ». Le journal poursuit De fait, le meilleur moyen de dĂ©finir cette qualitĂ© si fugace et si difficile Ă  cerner qu’est le swing consiste peut-ĂȘtre Ă  se servir d’une prestation d’Oscar Peterson comme illustration. Il Ă©tait dotĂ© d’une connaissance approfondie de l’histoire du jazz et pouvait jouer aussi bien des accords brossĂ©s des deux poings qu’un bebop complexe et extrĂȘmement Ă©laborĂ©. Son sens du rythme et son imagination en faisaient Ă©galement l’un des plus grands joueurs de balades. Il avait tout pour lui, le seul bĂ©mol susceptible de nuire Ă  la perfection de ses prestations Ă©tant un penchant occasionnel pour le rococo. » Influence sur les autres pianistes Il est difficile d’évaluer l’influence d’Oscar Peterson sur ses collĂšgues musiciens. Son niveau technique extraordinaire rendant son jeu complexe et son absence d’affiliation Ă  un style ou Ă  un idiome particulier ne permettent pas Ă  d’autres pianistes de l’imiter directement. Il constitue toutefois une premiĂšre source d’inspiration nombre d’entre eux. Herbie Hancock s’exprime ainsi Ă  son propos Oscar Peterson a redĂ©fini ce qu’est le swing, pour la deuxiĂšme moitiĂ© du XXe siĂšcle, pour les pianistes de jazz
 Je le considĂšre comme une influence majeure ayant nourri et orientĂ© les racines de mon jeu de pianiste de jazz. C’était un maĂźtre de l’équilibre entre la technique, le groove hard blues et la tendresse. » Diana Krall, native de Nanaimo, en Colombie-Britannique, a un jour dit d’Oscar Peterson ... il est la raison pour laquelle je suis devenue pianiste de jazz. Dans l’album souvenir de mon Ă©cole secondaire, il est inscrit que mon objectif est de devenir une pianiste de jazz comme Oscar Peterson. » CarriĂšre de formateur Oscar Peterson dirige l’Advanced School of Contemporary Music Ă  Toronto, de 1960 Ă  1962, avec Phil Nimmons, Ray Brown et Ed Thigpen. L’école ferme aprĂšs seulement trois ans en raison des exigences du calendrier des engagements d’Oscar Peterson. MalgrĂ© tout, elle attire des Ă©tudiants en jazz en provenance de diffĂ©rentes villes d’AmĂ©rique du Nord. Le corps enseignant s’enrichit avec Erich Traugott, pour la trompette, Jiro Butch » Watanabe, pour le trombone, et Ed Bickert, pour la guitare. Skip Beckwith, Carol Britto, Brian Browne, Wray Downes et Bill King sont au nombre des propres Ă©lĂšves d’Oscar Peterson. Oscar Peterson rĂ©dige en outre, au milieu des annĂ©es 1960, quatre volumes didactiques intitulĂ©s Jazz Exercises and Pieces for the Young Jazz Pianist. Il est Ă©galement prĂ©sent au lancement de l’atelier de jazz du Centre d’arts de Banff en 1974. Il revient Ă  un environnement universitaire, en 1985, en tant que professeur auxiliaire de musique Ă  l’UniversitĂ© York. Il y exerce Ă©galement les fonctions de chancelier de 1991 Ă  1994, puis de gouverneur honoraire en 1995. Il participe Ă  la crĂ©ation de l’Oscar Peterson Jazz Research Centre au CollĂšge Winters, l’école des beaux-arts de l’UniversitĂ© York. Émissions Ă  la radio et Ă  la tĂ©lĂ©vision AprĂšs sa carriĂšre prĂ©coce sur la radio CBC, aucune station de radio ne passe rĂ©guliĂšrement la musique en dehors de ses enregistrements. La donne change dans les annĂ©es 1970, lorsque ses prestations en concert sont diffusĂ©es Ă  l’occasion de la sĂ©rie Jazz Radio-Canada et que les Ă©missions That Midnight Jazz et The Entertainers proposent des documentaires Ă  son sujet. Oscar Peterson lui-mĂȘme anime les minisĂ©ries Oscar Peterson Jazz Soloists en 1984 et Jazz at the Philharmonic en 1990. On peut le voir Ă  la tĂ©lĂ©vision de la CBC Ă  l’occasion de diffĂ©rentes Ă©missions spĂ©ciales, notamment Oscar Peterson Inside 1967; A Very Special Oscar Peterson 1976; Oscar Peterson Canadiana Suite 1979, un concert durant lequel un orchestre de trente-sept instruments interprĂšte sa suite Canadiana Suite tandis que des images des paysages correspondants sont projetĂ©es; et la sĂ©rie de treize Ă©pisodes Oscar Peterson and Friends 1980. Au milieu des annĂ©es 1970, il anime Ă©galement plusieurs Ă©missions Ă  la tĂ©lĂ©vision sur CTV, Oscar Peterson Presents en 1974; et sur la BBC, Piano Party en 1976 et Oscar Peterson Invites
 en 1977. La CBC prĂ©sente Ă©galement, en 1994, un documentaire radiophonique en sept parties Ă  son sujet. Elle diffuse enfin une sĂ©rie biographique tĂ©lĂ©visĂ©e, Life and Times, dont l’un des Ă©pisodes Oscar Peterson Keeping the Groove Alive » lui est consacrĂ© en 2003. Instrumentistes d’appoint canadiens Bien que la plupart de ses groupes soient basĂ©s aux États-Unis, Oscar Peterson emploie rĂ©guliĂšrement des musiciens d’appoint canadiens Ă  ses cĂŽtĂ©s. Parmi eux, on compte les contrebassistes Michel Donato, Steve Wallace et David Young , les batteurs Terry Clarke, Jerry Fuller , Stan Perry et Ron Rully, ainsi que le guitariste Lorne Lofsky. Vie personnelle Oscar Peterson se marie quatre fois. Deux fils et trois filles naissent d’un premier mariage, avec Lillian Fraser, qui dure de 1944 Ă  1958. Il reste mariĂ© avec Sandra King, sa deuxiĂšme Ă©pouse, de 1966 Ă  1976. Son troisiĂšme mariage, en 1977, avec Charlotte Huber voit la naissance d’une fille et prend fin en 1987. Il Ă©pouse, en quatriĂšme noce, Kelly Oscar Peterson nĂ©e Green avec laquelle il a Ă©galement une fille. Ce dernier mariage s’étend de 1990 jusqu’à sa mort en 2007. Distinctions Oscar Peterson reçoit une multitude de distinctions et de prix allant de marques de reconnaissance officielles au plus haut niveau Ă  des Ă©coles ou Ă  des bourses nommĂ©es en son honneur. À l’occasion des Jeux olympiques d’étĂ© Ă  MontrĂ©al, en 1976, il reçoit une clĂ© de la ville. En 1978, il est intronisĂ© au PanthĂ©on de la musique canadienne. En 1990, le Festival international de jazz de MontrĂ©al crĂ©e le prix annuel Oscar Peterson afin de souligner la qualitĂ© de l’art d’un musicien et sa contribution exceptionnelle au dĂ©veloppement du jazz canadien ». En 1993, il reçoit le prix Glenn Gould. Cette rĂ©compense est nommĂ©e d’aprĂšs son seul vĂ©ritable rival parmi les pianistes canadiens. L’UniversitĂ© Concordia nomme une salle de concert en son honneur en 1998. Elle crĂ©e Ă©galement, en 2000, la bourse Dr. Oscar Peterson Jazz Scholarship, conjointement avec Verve Music Group Canada. En 1999, Oscar Peterson devient le premier Canadien et le premier musicien de jazz Ă  recevoir le prix Praemium Imperiale, l’équivalent du prix Nobel dans le domaine des arts, de la part de la Japan Art Association. À partir de 1991, Oscar Peterson dĂ©pose sa documentation auprĂšs de la BibliothĂšque nationale du Canada devenue BibliothĂšque et Archives Canada. La BibliothĂšque organise une exposition majeure intitulĂ©e Oscar Peterson A Jazz Sensation, qui ouvre le jour de la fĂȘte du Canada 2000 et se poursuit jusqu’en septembre 2001. En 2000, Oscar Peterson reçoit le prix du Conseil international de la musique de l’UNESCO ainsi qu’une citation du prĂ©sident amĂ©ricain Bill Clinton en reconnaissance de ses rĂ©alisations. Cette mĂȘme annĂ©e, son album The Trio est dĂ©signĂ© Ɠuvre magistrale » par un organisme du gouvernement du Canada appelĂ© Trust pour la prĂ©servation de l’audiovisuel. En 2001, les villes de San Jose, d’Oakland et de San Francisco en Californie dĂ©clarent la semaine du 28 aoĂ»t au 2 septembre semaine Oscar Peterson ». La Chambre des reprĂ©sentants des États-Unis lui prĂ©sente une mention Ă©logieuse en reconnaissance de ses contributions Ă  la sociĂ©tĂ©. En 2002, Oscar Peterson est le premier Ă  ĂȘtre intronisĂ© au Temple de la renommĂ©e canadien du jazz et du blues. Il reçoit aussi un prix pour l’Ɠuvre de toute une vie de l’Urban Music Association of Canada. En 2003, la Ville de Mississauga nomme l’une de ses voies boulevard Oscar Peterson et le gouvernement d’Autriche Ă©met un timbre en son honneur. En 2005, on donne son nom Ă  une Ă©cole publique de Mississauga et Postes Canada Ă©met un timbre en son honneur, faisant ainsi de lui la premiĂšre personne vivante Ă  avoir son effigie sur un timbre canadien en dehors des monarques rĂ©gnants. En 2008, le morceau Hymn to Freedom est intronisĂ© au PanthĂ©on des auteurs et compositeurs canadiens. En 2010, le dĂ©partement de musique de l’UniversitĂ© York crĂ©e une bourse d’admission Oscar Peterson d’un montant de 40 000 $. En 2013, il est intronisĂ© Ă  titre posthume Ă  l’AllĂ©e des cĂ©lĂ©britĂ©s canadiennes. Une sculpture grandeur nature d’Oscar Peterson, dĂ©voilĂ©e le 30 juin 2010 par la reine Elizabeth II et par le duc d’Édimbourg, est installĂ©e Ă  demeure Ă  l’extĂ©rieur du Centre national des arts Ă  Ottawa. Une version de cet article est parue initialement dans l’EncyclopĂ©die de la musique au Canada. Prix Prix Juno Membre, PanthĂ©on de la musique canadienne 1978 Meilleur album de jazz, If You Could See Me Now 1987 Prix Grammy Meilleur concert de jazz par un groupe, The Trio 1974 Meilleur concert de jazz en solo, The Giants 1977 Meilleur concert de jazz instrumental en solo, Montreux ’77 – Oscar Peterson Jam 1978 Meilleur concert de jazz instrumental en solo, Jousts 1979 Meilleur concert de jazz instrumental en groupe, The Legendary Oscar Peterson Trio Live at the Blue Note 1990 Meilleur concert de jazz instrumental en solo, The Legendary Oscar Peterson Trio Live at the Blue Note 1990 Meilleur concert de jazz instrumental en groupe, Saturday Night at the Blue Note 1991 Prix pour l’Ɠuvre de toute une vie 1997 DiplĂŽmes honoris causa Doctorat en sciences juridiques, UniversitĂ© Carleton 1973 Doctorat en sciences juridiques, UniversitĂ© Queen’s 1976 Doctorat en sciences juridiques, UniversitĂ© Concordia 1979 Doctorat en musique, UniversitĂ© Mount Allison 1980 Doctorat en sciences juridiques, UniversitĂ© McMaster 1981 Doctorat en sciences juridiques, UniversitĂ© de Victoria 1981 Doctorat en lettres, UniversitĂ© York 1982 Doctorat en beaux arts, Northwestern University, Illinois 1983 Grade honoris causa, Berklee College of Music 1984 Doctorat en sciences juridiques, UniversitĂ© de Toronto 1985 Doctorat en musique, UniversitĂ© Laval 1985 Doctorat honoris causa, Western Ontario Conservatory of Music 1994 Doctorat en sciences juridiques, UniversitĂ© de la Colombie-Britannique 1994 Doctorat en beaux arts, Niagara University, New York 1996 Doctorat en sciences juridiques, UniversitĂ© Western Ontario 1999 Autres Meilleur album de jazz de l’annĂ©e The Trio Live from Chicago, prix Edison, Europe 1962 Officier, Ordre du Canada 1972 Prix du mĂ©rite, Ville de Toronto 1973 Membre, Ordre du Canada 1984 DiplĂŽme d’honneur, ConfĂ©rence canadienne des arts 1975 MĂ©daille de la Reine 1977 Membre honoraire, Conseil canadien de la musique 1978 Meilleure musique originale pour un long-mĂ©trage The Silent Partner, PalmarĂšs du film canadien 1978 Membre honoraire Ă  vie, Guilde des musiciens de MontrĂ©al 1982 Prix du mĂ©rite, Ville de Toronto 1983 Prix du Roy Thomson Hall 1987 Officier, ordre des Arts et des Lettres, gouvernement français 1989 Prix pour l’Ɠuvre de toute une vie, prix Toronto Arts 1991 Chevalier, Ordre national du QuĂ©bec 1991 Prix du Gouverneur gĂ©nĂ©ral pour les arts du spectacle, catĂ©gorie rĂ©alisation artistique 1992 Membre, Ordre du Canada 1992 Meilleure musique originale pour une Ă©mission ou une minisĂ©rie In the Key of Oscar, prix Gemini 1993 Prix Glenn Gould, Glenn Gould Foundation 1993 Prix de l’International Society for Performing Artists 1995 MĂ©daille Loyola, UniversitĂ© Concordia 1997 Prix de l’International Jazz Hall of Fame 1997 Prix World Art du Praemium Imperiale, Japan Art Association 1999 Prix de la Society for American Music, Society for American Music 2000 Prix du Conseil international de la musique de l’UNESCO 2000 Prix du musicien de l’annĂ©e, Toronto Musicians’ Association 2001 Prix de la personnalitĂ© de l’annĂ©e, Skynet Internet 2001 Prix pour l’Ɠuvre de toute une vie, Atlanta International Jazz Society 2001 Membre, Temple de la renommĂ©e canadienne du jazz et du blues 2002 Prix pour l’Ɠuvre de toute une vie, Boesendorfer Piano Company of Austria 2002 Prix pour l’Ɠuvre de toute une vie, Urban Music Association of Canada 2002 Prix du prĂ©sident, International Association for Jazz Education 2003 Prix du mĂ©rite civique, Ville de Mississauga 2003 Membre, Mississauga Arts Hall of Fame 2003 Croix d’honneur autrichienne pour des rĂ©alisations artistiques et culturelles, gouvernement autrichien 2003 Prix d’excellence pour le leadership au Canada, UniversitĂ© d’Ottawa 2004 Membre de l’Ordre du mĂ©rite de l’ACR, Association canadienne des radiodiffuseurs 2004 Prix pour l’Ɠuvre de toute une vie, BBC Radio 2005 Prix HĂ©ritage Frank Davies, PanthĂ©on des auteurs et compositeurs canadiens 2008 Membre Hymn to Freedom, PanthĂ©on des auteurs et compositeurs canadiens 2008 Membre, AllĂ©es des cĂ©lĂ©britĂ©s canadiennes 2013 Ouvrages Ă©crits Oscar Peterson et Richard Palmer, Ă©d., A Jazz Odyssey The Life of Oscar Peterson, New York, Continuum, 2002. Discographie Oscar Peterson, piano; autres musiciens selon les indications I Got Rhythm, plusieurs musiciens [1945–9] 1976. 2-RCA FXMI-7233 Armand Samson et Ben Johnson, guitare; Bert Brown, Albert King et Austin Roberts, contrebasse; Frank GariĂ©py, Roland Verdun, Russ Dufort, Mark Wilkie » Wilkinson et Clarence Jones, batterie. Tenderly 1950. Verve MGV-2046 Major Holley ou Ray Brown, contrebasse. Keyboard 1950. Verve MGV-2047 Major Holley ou Ray Brown, contrebasse. Nostalgic Memories 1950, 1954. Verve MGV-2045 Herb Ellis, guitare; Major Holley ou Ray Brown, contrebasse; Louie Bellson, batterie. Quatre 33 tours de transcriptions pour RCI solos et duos 1951. RCI 37, 38, 39, 40 Austin Roberts, contrebasse [12 sĂ©lections sur 20 sont ressorties sur 33 tours en 1990 sous la rĂ©fĂ©rence RCI 639]. Oscar Peterson, piano; Ray Brown, contrebasse Evening with Oscar Peterson 1950, 1951. Verve MGV-2048. Pastel Moods 1952, 1953, 1954. Verve MGV-2004 Irving Ashby ou Herb Ellis, guitare. Recital 1952, 1953, 1954. Verve MGV-2044 Barney Kessel ou Herb Ellis, guitare; Alvine Stoller ou Louie Bellson, batterie. Romance 1952. Verve MGV-2012 Oscar Peterson, voix; Barney Kessel, guitare; Alvin Stoller, batterie. Jazz at the Philharmonic, vol. 8 1952. Verve MG Barney Kessel, guitare; Alvin Stoller, batterie. Oscar Peterson Sings 1953. Clef MGC-145 Oscar Peterson, voix; Barney Kessel, guitare. Jazz at the Philharmonic, vol. 9 1953. Verve MG Herb Ellis, guitare. Jazz at the Philharmonic, vol. 10 1954. Verve MG Herb Ellis, guitare. Jazz at the Philharmonic, vol. 11 1955. Verve MG Herb Ellis, guitare. In a Romantic Mood, orchestre sous la direction de Russ Garcia 1955, 1956. Verve MGV-2002. Oscar Peterson Plays Count Basie 1956. Verve MGV-8092 Herb Ellis, guitare; Buddy Rich, batterie. Oscar Peterson at the Stratford Shakespearean Festival 1956. Verve MGV-8024 Herb Ellis, guitare. Soft Sands, orchestre 1957. Verve MGV-2079 Oscar Peterson, voix; Herb Ellis, guitare; Stan Levey, batterie. Newport Jazz Festival 1957 1957. Verve MGV-8239 Roy Eldridge, trompette; Sonny Stitt, saxophone alto et tĂ©nor; Herb Ellis, guitare; Jo Jones, batterie. At the Concertgebouw 1958. Verve MGV-8268 Herb Ellis, guitare. On the Town 1958. Verve MGV-8287 Herb Ellis, guitare. My Fair Lady 1958. Verve MGV-62119 Gene Gammage, batterie. Oscar Peterson, piano; Ray Brown, contrebasse; Ed Thigpen, batterie Jazz Portrait of Sinatra 1959. Verve MGV-68334. Jazz Soul 1959. Verve MGV-68351. Fiorello! 1959. Verve MGV-68366. Porgy and Bess 1959. Verve MGV-68340. Swinging Brass, orchestre sous la direction de Russ Garcia 1959. Verve MGV-68364. Trio 1961. Verve MGV-68420. Sound of the Trio 1961. Verve MGV-68480. Very Tall 1961. Verve MGV-68429 Milt Jackson, vibraphone. West Side Story 1962. Verve MGV-68454. Put on a Happy Face 1962. Verve MGV-68660. Something Warm 1962. Verve MGV-68681. Bursting Out, orchestre 1962. Verve MGV-68476. Affinity 1962. Verve MGV-68516. Night Train 1962. Verve MGV-68538. Oscar Peterson with Nelson Riddle, orchestre sous la direction de Nelson Riddle 1963. Verve MGV-68562. Action 1963–4. MPS/BASF 21-20668. We Get Requests 1964. Verve MGV-68606. Oscar Peterson Plays 1964. Verve MGV-68591. Canadiana Suite 1964. Limelight LM-82010. Oscar Peterson Plus One 1964. Mer MG-20975 Clark Terry, trompette/flugelhorn/voix. Eloquence 1965. Limelight LM-86023/Trip-5560. Oscar Peterson enregistre Ă©galement deux sĂ©ries de 33 tours consacrĂ©es Ă  des auteurs compositeurs individuels. Pour Clef, il enregistre Cole Porter MGC-603, Irving Berlin MGC-604, George Gershwin MGC-605 et Duke Ellington MGC-606 avec Barney Kessel et Ray Brown en 1952; Jerome Kern MGC-623, Richard Rodgers MGC-624 et Vincent Youmans MGC-625 avec Herb Ellis et Ray Brown en 1953; et Harry Warren MGC-648, Harold Arlen MGC-649 et Jimmy McHugh MGC-650 avec Herb Ellis et Ray Brown en 1954. En 1959, il enregistre, pour Verve, avec Ray Brown et Ed Thigpen, Cole Porter MGV-62052, Irving Berlin MGV-62053, Ira Gershwin MGV-62054, Duke Ellington MGV-62055, Jerome Kern MGV-62056, Richard Rodgers MGV-62057, Harry Warren et Vincent Youmans MGV-62059, Harold Arlen MGV-62060 et Jimmy McHugh MGV-62061. Oscar Peterson, piano; Sam Jones, contrebasse; Bobby Durham, batterie Soul Español 1966. Limelight EXPR-1029 Louis Hayes, batterie; Marshall Thompson, Henley Gibson et Harold Jones, percussions. The Greatest Jazz Concert in the World, avec l’orchestre de Duke Ellington 1967. Pablo 2625-704 Coleman Hawkins, saxophone tĂ©nor. Girl Talk 1967. MPS/BASF 21-20669 ou Ray Brown, contrebasse; Louis Hayes, batterie. My Favourite Instrument, piano solo 1967. MPS/BASF 21-20671. The Way I Really Play 1968. MPS/BASF 21-20670. Mellow Mood 1968. MPS/BASF 21-20962. Travelin' on 1968. MPS/BASF 21-20963. Motions and Emotions, orchestre sous la direction de Claus Ogerman 1969. MPS/BASF 21-20713. Hello Herbie. Herb Ellis guitare 1969. MPS/BASF 21-20723. Tristeza on Piano 1970. MPS/BASF 21-20734. Oscar Peterson, piano; autres musiciens selon les indications Note NHØP fait rĂ©fĂ©rence Ă  Niels-Henning Ørsted Pedersen. Another Day 1970. MPS/BASF 21-20869 George Mraz, contrebasse; Ray Price, batterie. Walking the Line 1970. MPS/BASF 21-20868 George Mraz; Ray Price, batterie. Tracks, piano solo 1970. MPS/BASF 21-20879. In Tune, avec Singers Unlimited 1971. MPS/BASF 21-20905 George Mraz, contrebasse; Louis Hayes, batterie. Reunion Blues 1971. MPS/BASF 21-20908 Milt Jackson, vibraphone; Ray Brown, contrebasse; Louis Hayes, batterie. Great Connection 1971. MPS/BASF 21-21281 NHØP, contrebasse; Louis Hayes, batterie. [titre du 33 tours inconnu] 1972. Nippon Columbia NCP-8501 Michel Donato, contrebasse; Louis Hayes, batterie. History of an Artist 1972, 1973, 1974. 2-Pablo 2625-702 Irving Ashby, Barney Kessel ou Herb Ellis, guitare; Ray Brown, Sam Jones ou George Mraz, contrebasse; Bobby Durham ou Louis Hayes, batterie. Oscar Peterson Featuring StĂ©phane Grappelli 1973. America AM-6129 et 6131/2-Prestige 24041 StĂ©phane Grappelli, violon; NHØP, contrebasse; Kenny Clarke, batterie. The Trio 1973. Pablo 2310-701 Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse. Canadiana Suite, avec Nimmons'N’ Nine Plus Six 1973. CBC LM-303 NHØP, contrebasse. Oscar Peterson in Russia 1974. 2-Pablo 2625-711 NHØP, contrebasse; Jake Hanna, batterie. Oscar Peterson and Dizzy Gillespie 1974. Pablo 2310-740 Dizzy Gillespie, trompette. Satch » & Josh » 1974. Pablo 2310-722 Count Basie, piano et orgue; Freddie Green, guitare; Ray Brown, contrebasse; Louie Bellson, batterie. Oscar Peterson and Roy Eldridge 1974. Pablo 2310-739 Roy Eldridge, trompette. Oscar Peterson and Harry Edison 1974. Pablo 2310-741 Harry Edison, trompette. The Giants 1974. Pablo 2310-796 Joe Pass, guitare; Ray Brown, contrebasse. À la Salle Pleyel. 1975. Pablo 2-2625 Joe Pass, guitare. Oscar Peterson and Clark Terry 1975. Pablo 2310-742 Clark Terry, trompette. Ella and Oscar 1976. Pablo 2310-759 Ella Fitzgerald, voix; Ray Brown, contrebasse. Oscar Peterson and Jon Faddis 1975. Pablo 2310-743 Jon Faddis, trompette. Joust 1974–5. Pablo 2310-817 Dizzy Gillespie, trompette; Harry Edison, trompette; Roy Eldridge, trompette; Jon Faddis, trompette; Clark Terry, trompette [seul]. The Oscar Peterson Big 6 at Montreux 1975. Pablo 2310-747 Toots Thielemans, harmonica; Milt Jackson, vibraphone; Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse; Louie Bellson, batterie. Porgy and Bess 1976. Pablo 2310-779 Oscar Peterson, clavicorde seulement; Joe Pass, guitare. Oscar Peterson Jam Montreux'77 1977. Pablo 2308-208 Dizzy Gillespie, trompette; Clark Terry, trompette; NHØP, contrebasse; Eddie Davis, saxophone tĂ©nor; Bobby Durham, batterie. Oscar Peterson and the Bassists 1977. Pablo 2308-213 Ray Brown, contrebasse; NHØP, contrebasse. Satch and Josh Again 1977. Pablo 2310-802 Count Basie, piano et orgue; John Heard, contrebasse; Louie Bellson, batterie. Night Rider 1978. Pablo 2310-843 Count Basie, piano et orgue; John Heard, contrebasse; Louie Bellson, batterie. Yessir That’s My Baby [1978] 1986. Pablo 2310-923 Count Basie, piano et orgue; John Heard, contrebasse; Louie Bellson, batterie. The Paris Concert 1978. Pablo 2620-112 Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse. The London Concert 1978. Pablo 2620-111 John Heard, contrebasse; Louie Bellson, batterie. The Silent Partner 1979. Pablo 2312-103 Clark Terry, trompette; Benny Carter, saxophone alto; Zoot Sims, saxophone tĂ©nor; Milt Jackson, vibraphone; John Heard, contrebasse; Grady Tate, batterie. Night Child. Joe Pass, guitare, 1979. Pablo 2312-108 Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse, Louie Bellson, batterie. Skol in Scandanavia. 1979. Pablo 2308-232 StĂ©phane Grappelli, violon; Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse; Mickey Roker, batterie. The Personal Touch 1980. Pablo 2312-113 Oscar Peterson, piano et voix; Clark Terry, trompette; Ed Bickert ou Peter Leitch, guitare; Dave Young, contrebasse; Jerry Fuller, batterie. The Trumpet Summit Meets the Oscar Peterson Big 4 1980. Pablo Today 2312-114 Dizzy Gillespie, Freddie Hubbard, Clark Terry, trompette; Joe Pass, guitare; Ray Brown, contrebasse; Bobby Durham, batterie. The Alternate Blues 1980. Pablo Today 2312-136 Dizzy Gillespie, Freddie Hubbard, Clark Terry, trompette; Joe Pass, guitare; Ray Brown, contrebasse; Bobby Durham, batterie. Live at the Northsea Jazz Festival, The Hague, Holland, 1980. 1980. 2-Pablo Live 2620-115 Toots Thielemans, harmonica; Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse. A Royal Wedding Suite, avec orchestre 1981. Pablo Today 2312-129. Nigerian Marketplace 1981. Pablo Live 2308-231 NHØP, contrebasse; Terry Clarke, batterie. Freedom Song 1982. Pablo 2640,101 Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse; Martin Drew, batterie. Face to Face 1982. Pablo 2310-876 Freddie Hubbard, trompette; Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse; Martin Drew, batterie. Two of the Few 1983. Pablo 2310-881 Milt Jackson, vibraphone. If You Could See Me Now 1983. Pablo 2310-918 Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse; Martin Drew, batterie. A Tribute to My Friends 1983. Pablo 2310-902 Joe Pass, guitare; NHØP, contrebasse; Martin Drew, batterie. Benny Carter Meets Oscar Peterson 1986. Pablo 2310-926 Benny Carter, saxophone alto; Joe Pass, guitare; Dave Young, contrebasse; Martin Drew, batterie. Oscar Peterson + Harry Edison + Eddie Cleanhead » Vinson 1986. Pablo 2310-927 Harry Edison, trompette; Eddie Cleanhead » Vinson, saxophone alto; Joe Pass, guitare; Dave Young, contrebasse; Martin Drew, batterie. Oscar Peterson Live 1986. Pablo 2310-940 Joe Pass, guitare; Dave Young, contrebasse; Martin Drew, batterie. Live at the Blue Note 1990. 2-Telarc CD-83304 Herb Ellis, guitare; Ray Brown, contrebasse; Bobby Durham, batterie. Saturday Night at the Blue Note 1990. 83306-Telarc CD-83304 Herb Ellis, guitare; Ray Brown, contrebasse; Bobby Durham, batterie. Side by Side 1994. Telarc 83341 Itzhak Perlman, violon; Herb Ellis, guitare; Ray Brown, contrebasse; Grady Tate, batterie. A Tribute to Oscar Peterson Live at the Town Hall, diffĂ©rents artistes 1997. Telarc Jazz 83401. A Summer Night in Munich 1999. Telarc Jazz 83450 Ulf Wakenius, guitare; NHØP, contrebasse; Martin Drew, batterie. Trail of Dreams a Canadian Suite sous la direction de Michel Legrand 2000. Telarc Jazz 83500 Ulf Wakenius, guitare; NHØP, contrebasse; Martin Drew, batterie; Michel Legrand, corde. Sur 33 tours, on retrouve Ă©galement Oscar Peterson en tant que membre du JATP ou participant Ă  des soirĂ©es concerts Pablo, lors de sĂ©ances d’improvisation, comme accompagnateur ou en invitĂ© soliste avec, parmi de nombreux autres artistes, Lester Young Verve 8144, Buddy DeFranco Verve 8210, Stan Getz Verve 8251, le Modern Jazz Quartet Verve 8269, Louis Armstrong Verve 8322, Louis Armstrong et Ella Fitzgerald 2-Verve 8811, Coleman Hawkins Verve 8346 et Gerry Mulligan Verve 8559. De nombreux albums faisant partie de cette discographie sont ressortis en CD; d’autres CD d’Oscar Peterson proposent des contenus, provenant de diffĂ©rents moments de sa carriĂšre, sous une nouvelle forme — par exemple Oscar Peterson Plays Jazz Standards 1953–1962, Verve 833-283, sorti en 1987 et The Will to Swing 1949–1971, 2-Verve 847-203, sorti en 1991. La sĂ©rie des films One Piece est constituĂ©e de 15 films qui ont Ă©tĂ© produits sur l'univers de One Piece, le premier Ă©tant sorti le 4 Mars 2000. Bien que se rapprochant des films de par leurs graphismes et leurs durĂ©es, les Épisodes SpĂ©ciaux ne sont pas listĂ©s ici. Produits par Toei Animation, ils possĂšdent une animation plus soignĂ©e. La plupart des films suivent un synopsis exclusif Ă  l'anime et sont considĂ©rĂ©s Ă  part de l'histoire canon. Le film 8 et le film 9 sont cependant des adaptations libres d'arcs canons. D'ordinaire non impliquĂ© dans les films jusqu'au Film 10, Eiichiro Oda a cependant participĂ© activement Ă  la production des Films 10, 12, 13, et 15, qui sont donc explicitement nommĂ©s "One Piece Films" et sont considĂ©rĂ©s non plus comme des films dĂ©veloppĂ©s Ă  part, mais comme des films Ă  gros budget. Trois de ces films sont accompagnĂ©s de petits clips promotionnels L'Aventure de l'Île de l'Horloge est accompagnĂ© d'un clip musical s'inspirant du Paradis de la Danse de Jango. Le Royaume de Chopper, l'Étrange Île des Animaux est accompagnĂ© de Dream Soccer King !. La MalĂ©diction de l'ÉpĂ©e SacrĂ©e est accompagnĂ© de Take Aim! The Pirate Baseball King. Liste[] Film 1 One Piece Le Film Film 2 L'Aventure de l'Île de l'Horloge Film 3 Le Royaume de Chopper, l'Étrange Île des Animaux Film 4 L'Aventure sans Issue Film 5 La MalĂ©diction de l'ÉpĂ©e SacrĂ©e Film 6 Le Baron Omatsuri et l'Île aux Secrets Film 7 Le Mecha GĂ©ant du ChĂąteau Karakuri Film 8 Épisode d'Alabasta Les Pirates et la Princesse du DĂ©sert Film 9 Épisode de Chopper Le Miracle des Cerisiers en Hiver Film 10 One Piece Strong World Film 11 One Piece 3D À la Poursuite du Chapeau de Paille Film 12 One Piece Z Film 13 One Piece Film Gold Film 14 One Piece Stampede Film 15 One Piece Film Red Film 1[] One Piece Le Film - WanpÄ«su ăƒŻăƒłăƒ”ăƒŒă‚č 4 Mars 2000 Synopsis[] Il Ă©tait une fois un pirate connu sous le nom de Woonan, qui a obtenu prĂšs d'un tiers de l'or du monde. Au fil des ans, le pirate disparĂ»t, et une lĂ©gende a grandi relatant qu'il a disparu avec son or sur une Ăźle lointaine, une Ăźle que les pirates continuent Ă  chercher. A bord du Vogue Merry, Luffy et son Ă©quipage, affamĂ©s et tĂ©mĂ©raires, sont privĂ©s de leur trĂ©sor. Pour tenter de le rĂ©cupĂ©rer, ils dĂ©truisent le navire responsable de cette perte, guidĂ© par un jeune garçon nommĂ© Tobio, qui est un navire de l'Ă©quipage pirate d'El Drago. L'amour de l'or d'El Drago l'a poussĂ© Ă  rechercher l'Ăźle de Woonan, et grĂące Ă  la carte au trĂ©sor de ce dernier, il la trouve. Pendant ce temps, les membres de l'Ă©quipage de Luffy ont Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s, et en dĂ©pit de leurs propres circonstances, ils doivent trouver un moyen d'empĂȘcher El Drago d'obtenir l'or de Woonaan. Notes[] Dans ce film apparaĂźt pour la premiĂšre fois un Fruit du DĂ©mon de type Paramecia le Goe Goe no Mi mangĂ© par El Drago. Film 2[] L'Aventure de l'Île de l'Horloge - Nejimaki-shima no bƍken ă­ă˜ăŸăćł¶ăźć†’é™ș 3 Mars 2001 Bonus Le Carnaval Dansant de Jango. Jango no dance carnival ゾャンギぼダンă‚čă‚«ăƒŒăƒ‹ăƒăƒ« Synopsis[] AprĂšs une petite dĂ©tente sur la plage, les Pirates du Chapeau de Paille constatent que le Vogue Merry est volĂ©. Ils lui courent aprĂšs et rencontrent deux frĂšres voleurs, qui ont l'intention de voler le diamant de l'Île de l'Horloge afin de devenir les plus grands voleurs du monde. Ils rencontrent ensuite les frĂšres et sƓurs Trump, un groupe de pirates dangereux dont le capitaine, Bear King, a l'intention de devenir le Seigneur des Pirates. AprĂšs avoir enlevĂ© Nami, ils s'Ă©chappent, et le reste de l'Équipage du Chapeau de Paille voyage jusqu'Ă  l'Île de l'Horloge et se prĂ©pare Ă  affronter L'Équipage des Pirates Trump. Notes[] Dans ce film apparaĂźt pour la premiĂšre fois un Fruit du DĂ©mon de type Logia le Toro Toro no Mi mangĂ© par Honey Queen. Film 3[] Le Royaume de Chopper, l'Étrange Île des Animaux - ChinjĆ«-jima no Choppā-ƍkoku ççŁćł¶ăźăƒăƒ§ăƒƒăƒ‘ăƒŒçŽ‹ć›œ 2 Mars 2002 Bonus Les Rois du Foot de RĂȘves ! Yume no sakka-ƍ! ć€ąăźă‚”ăƒƒă‚«ăƒŒçŽ‹ïŒ Synopsis[] Les Chapeaux de Paille arrivent sur l'Ăźle de la Couronne, oĂč il y a une lĂ©gende selon laquelle un trĂ©sor est cachĂ© sur cette Ăźle. Chopper est sĂ©parĂ© de l'Ă©quipage, cependant, et quand il rencontre un garçon nommĂ© Mobambi, Chopper est considĂ©rĂ© comme le nouveau Roi des Animaux de l'Ăźle. Également sur l'Ăźle, cependant, sont le comte Butler, le gĂ©nĂ©ral Hotdog, et le prĂ©sident Heaby, qui cherchent le trĂ©sor pour eux-mĂȘmes. Il s'avĂšre que le trĂ©sor est une grande puissance contenue dans les cornes de l'animal roi, et donc une grande bataille entre le groupe Butler et les chapeaux de paille Ă©clate car Butler poursuit sans relĂąche la puissance du roi des animaux. Film 4[] L'Aventure sans Issue - The adventure of the Dead End. Deddo endo no bƍken デッドスンドぼ憒é™ș 1 Mars 2003 Synopsis[] Ayant dĂ©sespĂ©rĂ©ment besoin d'argent, les chapeaux de paille participent Ă  la course secrĂšte entre Ă©quipages pirates nommĂ©e la Dead End Race. Ils doivent se rendre sur une Ăźle dĂ©terminĂ©e au hasard Ă  chaque course et se battre contre de puissants pirates, y compris un ancien Marine reconverti en pirate avec une prime plus Ă©levĂ©e que celle de Crocodile, le capitaine Gasparde, et le chasseur de primes qui veut le tuer. Avec les pouvoirs meurtriers de son fruit du dĂ©mon et la fourberie de Gasparde, tous ses adversaires sont-ils condamnĂ©s dĂšs le dĂ©part ? Film 5[] La MalĂ©diction de l'ÉpĂ©e SacrĂ©e - Norowareta seiken ć‘Șă‚ă‚ŒăŸè–ć‰Ł 6 Mars 2004 Bonus Vise ! Le pirate Roi du Baseball. Mezase! kaizoku yakyĆ«-ƍ ă‚ă–ă›ïŒæ”·èłŠé‡ŽçƒçŽ‹ Synopsis[] Sur l'Ăźle d'Asuka, les Pirates du Chapeau de Paille veulent en apprendre davantage sur l'Ă©pĂ©e aux 7 Ă©toiles, considĂ©rĂ©e comme un trĂ©sor prĂ©cieux, mĂȘme si elle contient une malĂ©diction mortelle. Quand ils reviennent au navire, ils constatent que Zoro, qui devait garder le Vogue Merry en compagnie d'Usopp, a mystĂ©rieusement disparu. Zoro est l'un d'entre eux ! Quelle raison aurait Zoro de faire ceci ? Quel est le secret de l'Ă©pĂ©e ? Que fait la Marine ? Les rĂ©ponses se trouvent lors de la nuit de la lune rouge. Film 6[] Le Baron Omatsuri et l'Île aux Secrets - Omatsuri danshaku to himitsu no shima ă‚ȘマツăƒȘç”·çˆ”ăšç§˜ćŻ†ăźćł¶ 5 Mars 2005 Synopsis[] Les Chapeaux de Paille reçoivent une invitation sur l'Ăźle d'Omatsuri. Ils dĂ©cident d'aller faire une pause dans leurs aventures et d'y aller. Mais une fois qu'ils sont lĂ , ils sont forcĂ©s de participer Ă  des dĂ©fis ridicules par le Baron de l'Ăźle. Luffy est impatient de prouver que les membres de son Ă©quipage sont pirates des pirates des pirates des pirates" et qu'ils fassent la fĂȘte. Mais cela en vaut-il vraiment la peine? Il y a quelque chose d'Ă©trange Ă  propos du baron et de la population de l'Ăźle. Et lorsque le jeu dĂ©marre, les Ă©vĂ©nements commencent Ă  effriter la camaraderie de l'Ă©quipage. Et un par un, chaque membre est portĂ© disparu ... La rencontre fortuite avec une famille pirate et un ancien capitaine pirate dĂ©mĂȘle quelques-uns des mystĂšres de l'Ăźle d'Omatsuri. En particulier celui qui intĂ©resse beaucoup Robin sur la fleur spĂ©ciale de l'Île d'Omatsuri Lily Carnation. Film 7[] Le Mecha GĂ©ant du ChĂąteau Karakuri - Karakuri-jƍ no meka kyohei ă‚«ăƒ©ă‚ŻăƒȘćŸŽăźăƒĄă‚«ć·šć…” 4 Mars 2006 Synopsis[] AprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© un coffre au trĂ©sor d'un navire en perdition, les Pirates du Chapeau de Paille ont hĂąte de voir quelles richesses les attendent Ă  l'intĂ©rieur. Au lieu d'un trĂ©sor, c'est une vieille dame que contenait le coffre. Soucieux de rentrer Ă  la maison et d'Ă©viter la colĂšre de Nami pour avoir jetĂ© le trĂ©sor prĂ©cĂ©demment, la vieille dame offre une rĂ©compense plus prĂ©cieuse si l'Ă©quipage l'aide Ă  retourner Ă  son domicile sur l'Ăźle de Mecha. La lĂ©gende de la Couronne d'Or oĂč elle est sensĂ©e se trouver semble trop belle pour ĂȘtre vraie. Luffy sent l'aventure, si bien que l'Ă©quipage n'a pas le choix. Sur une Ăźle pleine d'inventions incroyables, l'Ă©quipage devra tester son aptitude Ă  rĂ©soudre les Ă©nigmes - grĂące parfois Ă  des coups de chance de Luffy - pour rĂ©soudre le mystĂšre de l'Ăźle de Mecha et de son trĂ©sor. Notes[] C'est la premiĂšre apparition du Gear Second dans un film, bien que Luffy ne sache pas que ce soit le Gear Second. Usopp est vu travaillant sur le Perfect Clima-Tact durant l'opening. C'est le premier film oĂč les poitrines de Nami et Robin furent aussi Ă©tudiĂ©es d'un point de vue graphique, avec des mouvements de poitrine Ă©loquents et des seins plus grands et ronds. Cela est majoritairement dĂ» au directeur d'animation Eisaku Inoue, qui dirigea aussi le Film 8 oĂč ces mouvements de poitrine sont Ă©galement vus. La voix originale de Chopper, Ikue Ohtani, n'a pas pu doubler Chopper puisqu'elle Ă©tait Ă  ce moment lĂ  Ă  la maternitĂ©, et la voix de Chopper est donc diffĂ©rente de celle de l'anime et des autres films. Film 8[] Épisode d'Alabasta Les Pirates et la Princesse du DĂ©sert - Episƍdo obu Arabasuta sabaku no ƍjo to kaizoku-tachi ă‚šăƒ”ă‚œăƒŒăƒ‰ă‚Șăƒ–ă‚ąăƒ©ăƒă‚čタ ç ‚æŒ ăźçŽ‹ć„łăšæ”·èłŠăŸăĄ 3 Mars 2007 Synopsis[] Les Pirates du Chapeau de Paille se rendent Ă  Alabasta, l'Ăźle dĂ©sertique et l'Ăźle natale de Nefertari Vivi. Crocodile, le hĂ©ros du pays, dirigeant secrĂštement son organisation criminelle, Baroque Works, cherche Ă  monter les citoyens contre le roi, Nefertari Cobra, le pĂšre de Vivi, afin de s'emparer du trĂŽne et d'une Arme antique, Pluton. L'Ă©quipage doit maintenant traverser le dĂ©sert, arrĂȘter la rĂ©volution, sauver des milliers de vies de la menace de Baroque Works, et surtout, battre Crocodile, l'un des puissants Capitaines Corsaires. Film 9[] Épisode de Chopper Le Miracle des Cerisiers en Hiver - Episƍdo Obu Choppā Purasu Fuyu ni Saku, Kiseki no Sakura ă‚šăƒ”ă‚œăƒŒăƒ‰ă‚Șăƒ–ăƒăƒ§ăƒƒăƒ‘ăƒŒïŒ‹ 憏にć’Čăă€ć„‡è·ĄăźæĄœ 1 Mars 2008 Synopsis[] C'est le deuxiĂšme film dont le synopsis se concentre sur Chopper, car c'est un rĂ©cit de l'histoire de l'Ăźle de Drum. Il dispose en plus de Franky, Nico Robin, et le Thousand Sunny, qui n'Ă©taient pas prĂ©sents dans l'histoire originale. De plus, les ennemis sont Wapol et Musshuru, le frĂšre de Wapol. Notes[] Film 10[] One Piece Strong World - Sutorongu Wārudo ă‚čăƒˆăƒ­ăƒłă‚°ăƒŻăƒŒăƒ«ăƒ‰ 12 Septembre 2009 Synopsis[] Pour voir le rĂ©sumĂ©, veuillez consulter cette page. Notes[] Eiichiro Oda a dĂ©cidĂ© lui mĂȘme de s'occuper du dixiĂšme film Strong World qui est sorti le 12 Septembre 2009 dans les salles de cinĂ©ma du Japon. Il a Ă©crit lui mĂȘme l'histoire et fait le design des personnages. C'est en effet le premier film oĂč monsieur Oda intervient autant, ce film relate en autre des Ă©vĂ©nements parallĂšles Ă  la sĂ©rie mais qui ont Ă©tĂ© introduits Ă  plusieurs reprises dans le manga et notamment dans le chapitre "antĂ©rieur", le chapitre 0. Il s'agit en effet d'une histoire annexe Ă  One Piece en relation directe avec Kinjishi no Shiki "Shiki le lion d'or" le seul Ă©vadĂ© d'Impel Down... avant Luffy. Film 11[] One Piece 3D À la Poursuite du Chapeau de Paille - Wān Piisu SurÄ«-DÄ« Mugiwara Cheisu ONE PIECE 3D éșŠă‚ă‚‰ăƒă‚§ă‚€ă‚č 19 mars 2011 Pour beaucoup, One Piece Mugiwara Chase n’est pas considĂ©rĂ© comme le 11Ăšme film mais plutĂŽt comme un Ă©pisode spĂ©cial Notes[] Il s'agit du premier film en 3D de One Piece. Dans ce film apparaĂźt pour la premiĂšre fois un Fruit du DĂ©mon de type Zoan le Tori Tori no Mi, modĂšle Aigle mangĂ© par Buzz. Il s'agit du film le plus court de la sĂ©rie, puisqu'il dure seulement 30 min. Il n'y a pas de sortie DVD en FRance pour ce film. Dans le film, Zoro montre qu'il peut couper le Granit Marin, cependant dans l'histoire originale, on ignore s'il en est capable. Film 12[] One Piece Z - Wan PÄ«su Firumu Zetto ONE PIECE FILM Z 15 dĂ©cembre 2012 Synopsis[] RĂ©putĂ©e d'une puissance comparable Ă  celle des Armes antiques, la Pierre de Dyna a Ă©tĂ© dĂ©robĂ©e soudainement par un ancien Amiral de la Marine surnommĂ© "Z", qui croise le chemin de L'Équipage du Chapeau de Paille. Le de la Marine se dĂ©place vers l'avant, pour faire face Ă  la conspiration qui menace d'Ă©branler les fondements mĂȘmes du Nouveau Monde. Ailleurs, Aokiji poursuit les pirates du Chapeau de Paille. Enfin, Luffy et son Ă©quipage se dĂ©placent pour prendre position contre Z et son incroyable puissance. Son logo pirate est celui de la marine mais Ă  l'envers avec une Ă©pĂ©e et une tĂȘte de mort. Notes[] C'est le second film supervisĂ© par Eiichiro Oda, aprĂšs Strong World C'est le deuxiĂšme film oĂč de hauts dirigeants de la Marine apparaissent avec l'Ex Amiral en Chef Sengoku et l'Ex Vice-Amiral Garp dans Strong World, et aussi la premiĂšre apparition de Ex-Amiral Aokiji Amiral Kizaru Capitaine Kobby Lieutenant Commandant Hermep C'est le second film montrant un ancien Marine converti Ă  la piraterie, le premier Ă©tant le Film 4 montrant Gasparde. Film 13[] One Piece Gold ONE PIECE FILM GOLD est sorti le 23 Juillet 2016 dans les salles japonaises. Synopsis[] Luffy et son Ă©quipage se rendent sur le Gran Tesoro, un navire-casino bĂąti et menĂ© par Gild Tesoro, homme multi-milliardaire possĂ©dant Ă  lui seul 20% des Berrys circulant dans le monde, et dĂ©tenteur des pouvoirs du Gol Gol no Mi, lui permettant de manipuler l'or Ă  sa guise. Au sein de son casino, Gild Tesoro est accompagnĂ© de Carina, une cĂ©lĂšbre cantatrice entourĂ©e de mystĂšre; de DĂ©dĂ©, un joueur Ă  la carrure imposante; de Baccarat, concierge du Gran Tesoro disposant des pouvoirs du Raki Raki no Mi faisant varier la chance des gens; et de Tanaka, responsable de la sĂ©curitĂ© du navire et dĂ©tenteur des pouvoirs du Nuke Nuke no Mi. Film 14[] One Piece Stampede est sorti le 9 AoĂ»t 2019 dans les salles japonaises. Synopsis[] L'Équipage du Chapeau de Paille participe Ă  la Pirates Expo, faite "par des pirates, pour les pirates", qui est un festival rassemblant les pirates du monde entier. Les participants vont chercher un trĂ©sor perdu, appartenant Ă  Gol D. Roger ! Mais l'un des participants et organisateurs de cette fĂȘte n'est autre que Douglas Bullet, ancien compagnon de Roger. Film 15[] One Piece Film Red sortira le 6 AoĂ»t 2021 dans les salles japonaises. FutilitĂ©s[] L'Opening du Film 5 suit directement l'Ending du Film 4, faisant de ces deux films les seuls Ă  ĂȘtre liĂ©s. Les Films 8 et 9 sont une rĂ©adaptation de deux arcs de l'histoire originale, le Film 8 traitant de l'Arc Alabasta et le Film 9 de l'Arc Royaume de Drum. Les Films 10, 12 et 13 sont qualifiĂ©s de films dans les versions japonaises et anglaises. C'est dĂ» Ă  la supervision des ces trois films par Eiichiro Oda. Les Films 1 Ă  11 se dĂ©roulent avant l'ellipse. Depuis le Film 12, l'action se dĂ©roule aprĂšs. Les Film 9, 13 et 14 ne peuvent pas ĂȘtre rattachĂ©s Ă  l'histoire canon. Dans le Film 9, Robin et Franky sont prĂ©sents alors que l'action raconte comment Chopper a Ă©tĂ© recrutĂ©. Dans le Film 13, l'Ă©quipage est au complet alors que l'action se dĂ©roule entre l'Arc Dressrosa et l'Arc Zo. L'Ă©quipage Ă©tait encore sĂ©parĂ© Ă  ce moment lĂ . Dans le Film 14, l'Ă©quipage est aussi au complet alors que l'action se dĂ©roule pendant l'Arc Pays des Wa alors que l'Ă©quipage Ă©tait encore sĂ©parĂ© Ă  ce moment lĂ . Navigation du Site[] Informations One Piece CrĂ©ateur Eiichiro Oda Productions Manga One Piece Manga ‱ Chapitres ‱ Tomes ‱ Tomes SpĂ©ciaux ‱ Mini-Aventures ‱ SBS ‱ Notes de l'Auteur ‱ Databooks ‱ Couvertures Manga Digitales ‱ Omakes ‱ One-Shots ‱ Spin-Offs Anime One Piece Anime ‱ Épisodes ‱ Musiques One Piece ‱ Films ‱ Sorties VidĂ©o Distributions Doublages AB Productions ‱ Kana Home Video Doublage/Liste des DVD et Blu-Ray sortis ‱ 4Kids Entertainment Traductions GlĂ©nat Édition Originale Française Compagnies Toei Animation ‱ Shueisha Weekly Shonen Jump ‱ Viz Media Europe ‱ Bandai Autres Marchandises Livres Romans ‱ Figurines ‱ Anime Books ‱ CDs ‱ Jeux VidĂ©os ‱ One Piece SĂ©rie TV Autres Romance Dawn Vol. 1 ‱ Vol. 2 ‱ Concepts ‱ RĂ©fĂ©rences Culturelles Ă  One Piece Mangas parodiques ‱ Autres mangas ‱ Jeux vidĂ©os, chansons ‱ Autres ‱ Changements et censures Censures Le jour oĂč tout a basculĂ© pour la future actrice de 13 ans. La Boum est sorti en salles le 17 dĂ©cembre 1980, il y a 40 ans jour pour jour, lançant la carriĂšre de Sophie Marceau, 13 ans Ă  l'Ă©poque. La jeune fille cherche alors Ă  se faire un peu d'argent de poche. FraĂźchement inscrite dans une agence de mannequins pour enfants, elle passe presque par hasard le casting du film de Claude Pinoteau. La coupe brune au carrĂ©, la frange droite et dĂ©bordant d'un naturel dĂ©sarmant, elle passe les essais pour le personnage de Victoire Beretton et s'exprime alors pour la premiĂšre fois devant une camĂ©ra "Je m'appelle Sophie Maupu. Je fais 1 mĂštre 65. J'ai jamais fait de cinĂ©ma et ça m'intĂ©resserait d'en faire. J'ai 13 ans." La suite, on la connait... La vidĂ©o du premier casting de Sophie Marceau, en 1980 LOL la Boum, nouvelle gĂ©nĂ©ration

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